Bonjour à tous ! Je suis en recherche de rp, alors si vous voulez passer un moment avec un voyou sans envergure et pas bien méchant, n'hésitez pas (Surtout si vous êtes une jolie fille)
Evan Jones
Sans emploi
Photo d'identité :
Bio : Espace pour insérer une courte bio de ton sorcier ou toute information qu'il te semblerait judicieux de préciser.
Age : 30 ans Ascendance : Sang-mêlé Nationalité : Britannique Emploi : Chômeur, voyou Groupes : Épicurien Ancienne maison : Serpentard Statut marital : Divorcé
Histoire
Dès ma naissance, on m'a apprit à fuir. Le huit janvier 1975 je voyais le jour, le dix j'étais déjà en partance pour la France. J'étais un accident, l'un de ces enfants dont on n'avait pas voulu. Qu'importe, j'étais là désormais, et mes parents voulaient me préserver. La guerre faisait rage dans mon pays alors nous sommes partis. Paris était paisible comparé à Londres. J'y ai vécu quelques années heureuses dans un quartier miteux. Les autres enfants étaient plutôt gentils et j'étais libre, il n'y avait aucun danger ici.
Quand l'Élu vaincu Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom pour la première fois, il fut l'heure de rentrer dans ma nation d'origine. Pas de repère, pas d'attaches, une règle qui devenais mienne. J'apprenais à quitter ce qui était ma maison sans remords. C'est ce dont je me persuadais en tous cas. Notre ancienne demeure, celle que je n'avais pas connu, avait été saccagé. Nous migrions chez les uns et les autres afin d'avoir un toit sous lequel dormir, et ce tout un an durant avant d'enfin trouver une sorte de grand studio.
Je ne connu aucun confort avant Poudlard. Là-bas, je me sentais bien. On me reparti à Serpentard, ce que je compris pas. J'avais beau ne pas être un ange, j'étais un bon petit gars qui ne demandait rien à personne. Ce n'était pas mes quelques moqueries et coups bas qui faisait de moi un vil serpent. Je redoutais les membres de cette maison qui m’impressionnaient, mais je me fis bien vite une place parmi eux. Si je ne faisais pas de vagues et que je ne reprenais pas les plus âgés, que je me contentais de mes petites magouilles dans mon coin, tout allait bien.
Plus le temps passait, plus mes notes chutaient. J'avais autre chose à faire que travailler, du genre me planquer avec mes copains pour faire des blagues pas très sympas aux autres. Toujours bien caché, évidemment. Il était hors de question que je me fasse attraper. Ma scolarité ne fut pas des plus glorieuses mais j'en profitais bien.
Quand j'eus fini mes études, ou ce qui s'y apparentait, il était clair que je ne comptais pas continuer à passer mes journées en salle de classe ou apprentissage. Je préférais de loin sortir et m'amuser. Pendant quelques temps mes parents ont accepté de m'héberger, jusqu'à ce qu'ils en aient assez que leur fils passent ses journées à rattraper ses soirées de la veille. J'ai fini dehors à essayer de me débrouiller comme je le pouvais.
Je suis tombée dans la délinquance un peu par hasard. C'était pratique et plutôt pas trop compliqué quand on savait un minimum réfléchir. Quelques casses en bijouteries – toujours assuré qu'on ne puisse me découvrir – et j'avais de quoi vivre tranquillement pour le mois si je ne passais pas tout en fêtes expansives.
Je me suis marié, aussi, alors que j'avais à peine vingt-ans. J'aimais bien la fille, et j'avais peut-être un peu trop bu. Le fait est que nous sommes restés ensembles, les procédures de divorces étant trop compliquées, jusqu'à ce qu'elle veuille se lancer dans du gogo dancing ou ce genre de trucs. J'ai mes limites, j'ai pas toléré, alors on s'est séparés.
Pendant la guerre j'ai pas voulu me mouiller. J'étais pas suffisamment courageux pour rejoindre l'Ordre, trop peureux pour rejoindre Voldy, et pour dire vrai je m'en foutais un peu. Quelques planques et on m'a laissé tranquille. Je m'en suis sorti sans encombres au final.
Maintenant je continue à mener ma vie de petit malfrat, j'ai de comptes à rendre à personnes, peu d'amis, et c'est très bien ainsi. On m'embête pas et ça me va, je profite comme j'en ai envie. Qui pourrait rêver mieux ?
Adélia Flores
La bonne pote
J'ai rencontré la brésilienne il y a que quelques mois, mais le courant est bien passé. Addie, en plus d'être bien mignonne, il se trouve qu'elle est plutôt cool. Parfaite partenaire de beuverie. Y a que quand elle m'entraîne dans ses plans bizarres qu'elle me plaît un peu moins ... Sous le regard des morts
Samuel Witt
Le bon pote
On a partagé un trajet dans le wagon bar, j'ai tout de suite compris que ce gamin avait du potentiel. Il s'est révélé un super partenaire pour faire la fête. À surveiller, je vous le dis. Payer sa tournée