Bio : Certains disent que son nom est Ursula, d'autres qu'elle n'est qu'une ombre sans vie. Tu la croiseras au détour de l'allée des Embrumes et, si tu as de la chance, au lieu d'aboyer elle lira ton destin dans la paume de tes mains.
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» Ven 30 Nov 2018 - 23:32
Un train dans la nuit
Le train file à travers la nuit, fendant l'obscurité. Il éclaire le paysage des lumières émanant des quelques compartiments dans lesquels elles sont encore allumées. Dans d'autres, les sorciers assoupis se laissent porter par le léger tremblement des rails. Il est bien tard, et des rares passagers, peu luttent encore contre le sommeil. Un arrêt brutal les éveillent pourtant tous bien trop brusquement.
Un des wagons bascule, emporté pas la force de ceux auxquels il est enchaîné. L'énorme rocher qui se trouve près de lui l’empêche néanmoins de heurter le sol. Il n'est alors ni à la verticale, ni à l'horizontal, mais bien bloqué entre ces deux positions. Une bosse imposante déforme l'un des murs de son couloirs, la plaque de fer se trouvant tout contre la pierre.
C'est dans celui-ci que vous voyagiez, tandis que vous n'imaginiez pas un instant que votre trajet soit interrompu de la sorte. Une atmosphère lugubre règne désormais alors qu'il n'y a plus une once de clarté autour de vous. Tous juste si le rayonnement des astres vous permet de vous déplacer dans les ténèbres … Vous auriez pu incanter afin de faire apparaître un confortable Lumos mais votre baguette est restée dans votre valise et celle-ci a été entreposée avec les autres bagages, bien loin de là où vous vous trouvez.
Avant même que vous ne puissiez envisager une solution, un bruit retentissant se fait entendre derrière la paroi, à l'intérieur de la voiture. Il ne tient qu'à vous d'aller par devant le danger ou attendre sagement que celui-ci s'éloigne …
Félix Harrington
Combattant du parti
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Son âge : 29
Origines : Anglaise / ?
Baguette : Bois de frêne et cœur en crin de Centaure
CV : 10 mois de stage pour être tireur d'élite
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Ecole : Poudlard
Matière préférée : Défense contre les forces du mal
Matière détestée : Histoire de la magie
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» Sam 22 Déc 2018 - 13:13
UN TRAIN DANS LA NUIT
LES VOYAGEURS
- Je n'ai pas besoin de votre protection monsieur Harrington, je sais très bien me débrouiller toute seule, braya la sorcière.
Mais attendez une minute… J’ai déjà entendu quelqu’un jacqueter de cette manière ! C’était forcément une de ces bourgeoises au sang pur mais laquelle… Elle connaissait mon nom d’autant plus !
"- Woof."
L’aboiement de l’être près de nous déporta mon attention de la sorcière. Celle-ci attendrait. La bête qui partageait notre wagon n’était donc qu’un chien ?
"- Woof woof."
Il ne semblait finalement pas si agressif et je ne m’inquiétais plus de sa présence. Sauf s’il continuait d’aboyer, je craignais qu’il n’attire autre chose, quelque chose de moins chaleureux que ce chien. J’aurais bien aimé être seul avec lui dans ce wagon. Il avait l’air plus futé que la sorcière avec nous, que j’abandonnais d’ailleurs pour suivre l’animal qui semblait avoir trouvé quelque chose. J’aimais bien les chiens, je les trouvais intelligents et étais sûr que celui-ci pourrait amoindrir notre handicap face à nos absences de baguettes. Suivant le chien dans son avancée dans le wagon, mes yeux commençaient à s’accoutumer à l’obscurité, mais ce n’était toujours pas très concluant. Mes mains glissaient le long des compartiments pour essayer de trouver une brèche, mais rien. Soudain, un cliquetis retentit. Tout le monde aurait pu l’entendre tant il avait résonné dans le wagon. Je me stoppai net. La porte du wagon venait de s’ouvrir devant nous. C’était très étrange et j’hésitai. Fallait-il foncer à l’aveugle ? Mais il n’y avait rien d’autre que l’obscurité dans le wagon où nous nous trouvions, alors… peut-être aurions nous plus de chances dans le suivant ? Peut-être y aura-t-il de nouveaux passagers là où nous arriverions ? Sur mes gardes, je décidai d’avancer, lentement mais sûrement. Franchissant la porte, j’arrivai dans le nouveau wagon. Il n’y avait rien mis à part le même silence que dans le précédent, où du moins c’est ce qu’il y paraissait.
- Restez sur vos gardes, murmurai-je à mes camarades, sans même savoir s’ils m’avaient suivi et se trouvaient derrière moi ou non.
Impossible de dire depuis combien de temps l'incident avait eut lieu. Icare se contentait de fulminer, de rager en silence dans le wagon, incapable d'en sortir, malgré tous ses essais infructueux pour ouvrir cette foutue porte. Incapable de rester en place, il marchait sur le sol bancal, après avoir trouvé un équilibre, son équilibre. Ses deux compagnons de route préféraient se reposer, rester inerte sur leurs banquettes.
Ce contretemps agaçait Icare plus que de mesure. Il n'était pas homme à aimer attendre, encore moins lorsqu'il se savait presser par le temps. Il y avait un rendez-vous important à la clé de ce trajet en train, il ne pouvait se permettre d'arriver en retard, pas aujourd'hui. Ni aucun autre jour. Ce désir qu'il avait de toujours être occupé, de voler d'un point à un autre, de toujours rester en mouvement, de laisser son esprit réfléchir à de nombreux problèmes l'empêchait d'apprécier la simple idée de se poser. Surtout dans un endroit aussi inconfortable que celui-ci.
Un bruit, un sursaut, un simple mouvement dans l'ombre du wagon. Le regard d'Icare se rue vers cette source d'action, espérant y trouver enfin une solution, quelques informations sur la situation présente. Ses pas le mène jusque là-bas sans qu'il n'y pense, décidé à en savoir plus. Il n'y a aucune lumière, rien pour lui permettre de comprendre ce qu'il se passe, de mieux voir les nouveaux arrivants d'après les sons qu'il entend.
- Restez sur vos gardes.
C'est une voix calme et sûre qui s'élève dans l'ombre du wagon. Elle ne dit rien à Icare, mais cela ne l'étonne pas. On ne croise pas des gens connus à tous les coins de rue, encore moins dans un train comme celui-ci. Et puis, que veut vraiment dire le statut de connaissance ? Elles ne sont figées qu'à l'instant t, les relations s'étiolent et se forment à chaque seconde, dans ce désir que les hommes ont de sociabiliser, en tous lieux et en tous temps.
- D'où venez-vous ? Vous savez quelle est la situation, ce qu'il s'est passé ? Comment êtes-vous parvenus dans ce wagon ?
Les questions d'Icare fusent, pressantes. Il veut savoir, a cette envie dévorante de comprendre ce qu'il s'est passé. Après tout, il a déjà essayé chaque issue, désespéré à l'idée de rester ici. Il faut qu'il bouge, qu'il se mette en marche, il ne peut rester coincer ici, comme un rat dans un piège à fromage.
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Eden Taylor
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Son âge : 26 ans
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Un train dans la nuitavec Félix, Casper et IcareL'animal qui grognait de façon menaçante se revéla en realité être un chien qui vint se frotter contre les jambes de Félix. Eden fit un pas en arrière avant que la bête ne vienne se frotter à elle, elle aurait detesté devoir enlever les poils de chien sur son pantalon noir. Elle fut cependant soulagée de voir qu'il n'était pas dangereux. Mais son soulagement fut de courte durée puisqu'un cliquetis résonna dans le silence du wagon. La brune se tourna instinctivement vers l'origine de se bruit et aperçut immédiatement la porte du wagon d'à côté qui s'était ouverte. Félix, qui ne semblait pas l'avoir reconnue, s'avança vers ce couloirs sombre, peut-être encore plus sombre que le leur. Sa fierté lui disait de ne pas suivre cet Auror mais elle savait qu'elle serait en danger seule et sans arme. Elle décida alors de se diriger elle aussi vers ce nouveau wagon, sans se soucier de leur accompagnateur canin.
- Restez sur vos gardes, lança Félix une fois à l'intérieur, même si Eden était presque sûre qu'il ne s'était pas rendu compte qu'elle le suivait.
C'est alors que la Taylor perçut un mouvement dans le wagon qui lui semblait pourtant vide qui fut très vite accompagné d'une voix inquiétante et pressée.
- D'où venez-vous ? Vous savez quelle est la situation, ce qu'il s'est passé ? Comment êtes-vous parvenus dans ce wagon ?
Les questions de cet homme inconnu résonnèrent dans le silence et l'obscurité. Eden n'arrivait pas à voir la personne qui se tenait devant, discernant à peine sa silhouette, mais il paraissait exténué.
- Nous venons du wagon juste avant le votre, commença la sorcière avec son ton de voix habituel, autrement don un tant soit peu hautain, mais nous ne savons rien, du moins je ne sais rien, sur la cause de cet accident. Nous avons seulement vu la porte de ce wagon s'ouvrir seule.
Elle savait que Harrington allait détester le fait qu'il parle à sa place, surtout pour faire un discours d'Auror, et elle s'en réjouissait silencieusement.
Felix Harrigton, Eden Taylor, Icare Rosier et Casper Fawley
Un train dans la nuit
Casper remarqua que l'homme, celui qu'il avait entendu se disputer avec la sorcière, lui avait emboîté le pas. Il le laissa faire, et décida qu'il l'aimait bien. Il était moins bruyant que la fille, qui sentait le parfum à plein né. Sans avoir rien de particuliers contre elle, il décida de s'en tenir éloigné avant d'éternuer. Son odorat était délicat. Un cliquetis résonna dans tout le wagon alors qu'il poursuivait son exploration. Instantanément, tout son corps se figea. Sa fourrure sombre hérissé, il laissa un léger, mais présent, grondement monter de son poitrail. Une porte s'était ouverte. Constatant que ses camarades d'infortune avaient décidé de poursuivre leur périple dans cette direction, il leur emboîta le pas, toujours à l'affut du moindre bruit.
- Restez sur vos gardes.
Il n'aurait pas dit mieux. S'il avait été en mesure de parler bien sur. Il sentit la présence de l'étrangers quelques secondes avant eux. Une senteur de parfum pour homme, de qualité et le bruit de sa respiration parfaitement mesurée, sans la moindre trace de panique. En bon loup qu'il était, Casper resta derrière Harrigton, comme l'avait appelée la jeune femme, qui s'était imposé comme le chef de ce trio improbable. Enfin, c'est comme ça que Casper l'interprétait. De tous les gens présents en ces lieux, il semblait être le seul véritablement capable de commander. Et il ne sentait pas le parfum, ce qui était un avantage indéniable aux yeux de l'animagus. Peut-être que l'inconnu allait changer la donne ?
- D'où venez-vous ? Vous savez quelle est la situation, ce qu'il s'est passé ? Comment êtes-vous parvenus dans ce wagon ?
- Nous venons du wagon juste avant le votre. Mais nous ne savons rien, du moins je ne sais rien, sur la cause de cet accident. Nous avons seulement vu la porte de ce wagon s'ouvrir seule.
Laissant le soin aux autres de poursuivre cette discussion qui n'était plus du tout dans ses cordes, Casper décida d'aller inspecter le nouveau venu. Avec agilité, il se faufila entre les deux autres et vint renifler autours d'Icare, curieux d'en savoir plus sur lui. Bien qu'il ne semblait pas hostile, il valait mieux se tenir près. Ses vêtements étaient propres, ses chaussures bien cirées et il avait l'air d'être agacé. C'était le genre d'homme qui aimait avoir le contrôle sur tout et qui ne supportait pas l'incertitude. Casper en avait connu beaucoup des comme ça.
Sans vraiment savoir quoi penser de cet homme, Casper se contenta de l'observer.
Les choses pourraient difficilement être pires, mais cela ne veut pas dire qu'elles ne le seront pas...
Pando
Félix Harrington
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☰Inventaire
» Mer 26 Déc 2018 - 23:26
UN TRAIN DANS LA NUIT
LES VOYAGEURS
- D'où venez-vous ? Vous savez quelle est la situation, ce qu'il s'est passé ? Comment êtes-vous parvenus dans ce wagon ?
Les questions avaient filé dans le noir du wagon, comme des sorts sortis d'une baguette. L'homme semblait impatient. Qu'y pouvions nous ? Nous étions dans la même situation semblerait-il.
- Nous venons du wagon juste avant le votre, répondit la sorcière alors que je m'y apprêtai, mais nous ne savons rien, du moins je ne sais rien, sur la cause de cet accident. Nous avons seulement vu la porte de ce wagon s'ouvrir seule.
Cette voix. Cette façon de parler hautaine et si typique de... Taylor. Eden Taylor. Je retins un soupir, levant les yeux au ciel. J'étais bloqué dans ce train avec Taylor. Quel enfer. Heureusement qu'il y avait le chien, je venais de sentir son corps passer près de moi, signe qu'il nous avait lui aussi suivi.
- C'est exact, nous n'en savons pas plus, confirmai-je. Et vous ? Qui êtes-vous ? Vous êtes seul ici ?
Mieux valait être prévenu. Et je préférais savoir à qui j'avais à faire. Pour l'instant, je connaissais Taylor. Peut-être que l'homme, dont la voix m'était jusqu'à présent inconnue, me serait familier ? Seulement, rien ne me le confirmerai. On n'y voyait rien dans ce fichu train. Pourquoi je n'avais pas gardé ma baguette ?
- Oh et personne n'aurait une baguette que l'on y voit plus clair ici ? Faudrait trouver une issue !
L'agacement se faisait sentir dans ma voix mais tant pis. Il fallait trouver une issue et vite. Personne ne semblait d'humeur à venir nous porter secours visiblement.
Soudainement, il y a du monde dans ce wagon vide et silencieux à faire peur. Deux sorciers, un homme et une femme d'après ce qu'il comprend, mais également un animal, sûrement un chien, ou du moins un canidé au bruit de sa respiration.
- Nous venons du wagon juste avant le votre, mais nous ne savons rien, du moins je ne sais rien, sur la cause de cet accident. Nous avons seulement vu la porte de ce wagon s'ouvrir seule.
Une voix hautaine et féminine s'élève. Une porte qui s'ouvre toute seule ? Cette situation était déjà bien inquiétante, cela l'étonnait à peine de voir une telle chose se produire. Tout était étrange, ou plutôt le devenait, dans ce train.
- C'est exact, nous n'en savons pas plus. Et vous ? Qui êtes-vous ? Vous êtes seul ici ?
En écoutant sa réponse, Icare sentit du même coup l'animal qui les avait suivit s'intéresser à ses chaussures et son pantalon, le renifler. Il n'y avait plus qu'à espérer que le chien ne le prendrait pas pour un coin où faire ses besoins. Il n'avait vraiment pas besoin de ça en plus de toutes les emmerdes qui lui tombait dessus.
- J'étais dans un compartiment avec deux autres personnes, mais je n'en sais pas plus. Impossible de sortir du wagon pour notre part, j'ai bien tenté tout ce qu'il y avait à essayer pourtant, déclara-t-il en se penchant vers l'animal.
- Oh et personne n'aurait une baguette que l'on y voit plus clair ici ? Faudrait trouver une issue !
Icare se contenta de laisser échapper un "non" dans un soupir et glissa sa main dans le poil de la bête, sans même que l'idée de craindre ses crocs ne lui vienne à l'esprit. Les personnes avec qui il avait commencé le voyage non plus n'avait pas eu de baguette. Personne n'avait eu la bonne idée de la garder sur soi, et chacun devait s'en mordre les doigts désormais.
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☰Inventaire
» Sam 29 Déc 2018 - 2:15
Un train dans la nuitAvec Félix Harrigton, Eden Taylor, Icare Rosier et Casper FawleyAndrew était envahi par la lassitude, il était exténué. Pourtant peu casanier, il avait pour l’heure le seul souhait de retrouver les draps frais et immaculés du lit de son appartement londonien afin de profiter d’un repos amplement mérité. Le langue-de-plomb aimait son travail, mais ces deux mois et demi passés à l’autre bout du monde, au Japon, lui avaient sérieusement donné envie de prendre des vacances. Dans le but de rassembler le maximum d’informations sur une organisation terroriste sorcière opérant au pays du Soleil Levant, connue pour cibler les Moldus, aux actions d’une rare violence et à l’influence croissante. Nombre d’horreurs étaient commises dans le monde, mais ce qui avait interpellé le ministère c’était l’importance que prenaient ces terroristes. Après tout si les rumeurs sur l’organisation étaient arrivées jusqu’aux oreilles des Anglais, n’importe qui avait pu découvrir l’existence des terroristes, à commencer par Gustav G. L’une des actuelles grandes craintes du ministère était que le nouveau « Grindelwald » cherche à trouver des alliés à travers le monde. Ses prédécesseurs avaient toujours agi seul, mais Gustav G. semblait pour l’instant adopter une approche différente, peut-être plus dangereuse. Le ministère ne pouvait pas prendre de risque avec les Japonais, et Moriarty avait été dépêché en Asie pour rendre compte des plans et de la structure de l’organisation terroriste.
Une mission de repérage qui s’était révélée plus ardue que prévu, Andrew avait risqué sa vie un nombre incalculable de fois face aux Japonais qui ne prenaient pas vraiment de gants quand il s’agissait d’effacer des témoins, primant l’efficacité avant la discrétion. Pour garder son identité et ses intentions secrètes, le langue-de-plomb avait dû procéder avec le maximum de prudence : prise de polynectar et changement de logement le plus souvent possible. Cependant le brun ne s’était jamais avoué vaincu et il revenait à Londres avec un rapport détaillé de sa mission. Andrew n’acceptait pas l’échec, aussi son compte-rendu était complet, bien qu’il sût que malgré tout il restait de nombreuses parts d’ombre sur ces terroristes. Enfin, le ministère devrait être satisfait de son travail.
Sachant qu’il était incapable de dormir dans les transports, Andrew relisait, solitaire dans sa cabine, une dernière fois le rouleau de parchemin contenant son rapport pour voir s’il pouvait y apporter des petites corrections ou améliorations. A vrai dire, ses yeux parcouraient difficilement les lignes remplies de son écriture, la fatigue prenant le dessus. Alors qu’il relisait pour la troisième fois la même phrase, le langue-de-plomb tourna la tête, exaspéré, vers la vitre à travers laquelle il voyait défiler les spectres d’arbres aux branches décharnées dans la nuit noire. Il surprit son reflet et les deux poches sombres qui s’étaient formées sous ses yeux. Malgré sa volonté de s’afficher toujours soigné, Andrew devait bien avouer n’être pour l’instant que l’ombre du langue-de-plomb parfait qu’il tentait de représenter.
Un choc brutal secoua le train et par la même occasion Moriarty. Mais l’homme auquel ces derniers mois avaient appris à rester toujours sur ses gardes ne se laissa pas surprendre. Au lieu de se laisser entrainer avec le wagon, il s’agrippa à la poignée de la porte de la cabine pour rester debout. Le train finit par sa stabiliser, bien que complètement de travers. Andrew ramassa son rapport qui était tombé, et le rangea dans l’une des poches de son grand manteau. Que s’était-il passé ? Un accident sans aucun doute. La réelle question qui se posait c’était : qu’est-ce qui avait provoqué cet accident, ou alors qui ? C’était peut-être un signe de paranoïa mais on n’était jamais trop prudent, mieux valait prendre toutes les possibilités en compte.
Moriarty tâta frénétiquement l’ensemble de ses poches sans succès, sa baguette n’était pas sur lui. Il l’avait sans aucun doute laissé avec ses bagages. Et dire que ce trajet en tarin était censé se révéler paisible après le tumulte japonais… Grave erreur que de sous-estimer le danger, on ne l’y reprendrait plus. Cependant, armé de sa baguette ou non Andrew n’allait pas rester les bras croisés. En premier lieu, il sortit dans le couloir tant bien que mal, le train totalement de travers empêchant une facilité de déplacement. Il n’y avait aucun signe d’autres personnes dans le wagon, et peut-être le langue-de-plomb était-il seul. A cette heure là ça n’avait rien d’étonnant, il doutait que le train comptât grand nombre de passagers. Andrew se dirigea vers la porte la plus proche de sa cabine, mais elle était évidemment fermée. Il tenta celle de l’autre côté du wagon sans plus de réussite. Evidemment un simple « Alohomora » aurait suffit à venir à bout de ces deux portes mais encore fallait-il avoir une baguette.
Andrew regagna sa cabine, refusant de s’avouer vaincu. Il était hors de question de rester enfermé dans ce wagon alors même que rien ne semblait être fait pour les aider. La fenêtre à travers laquelle il avait observé le paysage et son reflet à peine quelques instants plus tôt était fêlée. Un rien suffirait à la faire briser. Le brun songea immédiatement qu’il tenait sa porte de sortie. En effet quelques coups de pieds vinrent à bout de la vitre qui s’effondra en morceaux aux pieds du langue-de-plomb, laissant le vent frais du wagon s’infiltrer dans la cabine. L’ouverture créée n’était pas immense mais permettait à Moriarty de s’en servir pour sortir du train. C’est ce qu’il allait faire lorsqu’il entendit des éclats de voix venant de l’autre bout du wagon. Il n’était finalement apparemment pas seul.
Les pas d’Andrew le menèrent jusqu’à la cabine d’où venaient les voix. Il y trouva non pas un mais cinq passages, quatre hommes et un une femme ainsi qu’un animal à cheval entre le chien et le loup, il était difficile de distinguer. L’obscurité n’empêcha pas le brun de reconnaître le physique massif et le voix de celui qui prononça ces mots :
-Oh et personne n’aurait une baguette que l’on y voit plus clair ici ? Faudrait trouver une issue !
Pas de doute, ces cheveux noirs, cette intonation rageuse, c’était bien Harrington, l’auror avec qui Andrew avait à plusieurs reprises travaillé. C’était une réelle coïncidence qu’il soit dans ce train, mais pas une mauvaise surprise. Au moins l’auror était efficace lorsqu’il s’agissait de d’ordonner et de se faire écouter. Sans plus de cérémonie qu’un signe de tête, le langue-de-plomb déclara :
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Un train dans la nuitavec Félix, Casper, Icare et AndrewDès qu'elle eut fini de parler elle senti Félix se tendre de manière presque imperceptible. Il venait de réaliser qui elle était. La jeune femme ne put retenir un sourire mesquin mais se reprit très vite, même en sachant que personne ne pouvait discerner les expressions de son visage.
- C'est exact, nous n'en savons pas plus, ajouta Félix en reprenant son habituel sérieux. Et vous ? Qui êtes-vous ? Vous êtes seul ici ? reprit l'homme de plus belle.
- J'étais dans un compartiment avec deux autres personnes, mais je n'en sais pas plus. Impossible de sortir du wagon pour notre part, j'ai bien tenté tout ce qu'il y avait à essayer pourtant, s'empressa de répondre l'autre homme.
Il ne semblait pas réellement inquiet mais plus dérangé par cette mésaventure. Il se mit à caresser leur compagnon canin, qu'Eden était visiblement la seule à ne pas apprécier.
- Oh et personne n'aurait une baguette que l'on y voit plus clair ici ? Faudrait trouver une issue !
Le ton de Félix était cassant et désagréable, du Harrington tout craché. Eden fit claquer bruyamment sa langue et tapota du bout de ses longs ongles vernis la paroi du train. De son côté l'inconnu souffla un "non" à peine audible.
- Vous pensez sérieusement que si l'un d'entre nous avait une baguette il ne l'aurait pas encore utilisée au moins pour un Lumos ? lâcha la sorcière sur un ton condescendant, elle n'avait pas aimé la question idiote de l'Auror.
C'est à ce moment là qu'une autre figure masculine apparut dans la cabine. L'homme avait visiblement entendu les mots de Félix puisqu'il prit immédiatement la parole.
-Pas de baguette ici non plus ? Je suppose que nous allions les chercher. Votre issue est toute trouvée : les fenêtres. J’ai explosé la vitre de celle de ma cabine, le passage est suffisamment grand pour pouvoir sortir dans la nuit.
Eden se tendit immédiatement en entendant ces paroles. Il était hors de question qu'elle passe à travers une minuscule fenêtre pour abimer encore plus sa tenue qui se voulait parfaite. Eden n'était peut-être pas une sang-pure d'éducation stricte mais elle restait une sang-pure qui savait se faire valoir.
- Pardonnez moi mais ici tout le monde à l'air de vouloir donner des ordres alors que premièrement je ne sais même pas qui vous êtes, deuxièmement ce stupide chien qui continue à renifler partout commencé à me taper sur les nerfs et troisièmement il est hors de question que je sorte dans la nuit sans chaussures, oui parce que je suis pied nus, et dans le froid en ne sachant même pas où on est. A mon avis on ferait mieux de chercher de l'aide.
Felix Harrigton, Eden Taylor, Icare Rosier et Casper Fawley
Un train dans la nuit
On lui gratouillait la tête. Cet humain lui grattait la tête. Il allait hurler. On lui grattait la tête, la sienne, à ce dangereux et agile loups des forêts, prédateur dangereux et au sommet de la chaîne alimentaire. Comme s'il était un vulgaire chien, un animal de compagnie ! C'était révoltant, c'était outrageant, et... Casper se frotta contre la main qui venait caresser sa fourrure. C'était bien les gratouilles quand-même. Il s'interrompit aussitôt en attendant arriver un nouvel individu. Décidément, ce train vide ne l'était pas vraiment. Il se détacha de l'homme bien habillé pour s'approcher de celui qui venait d'arriver.
-Pas de baguette ici non plus ? Je suppose que nous allions les chercher. Votre issue est toute trouvée : les fenêtres. J’ai explosé la vitre de celle de ma cabine, le passage est suffisamment grand pour pouvoir sortir dans la nuit.
Cette idée plaisait à Casper. Plus que tout, il voulait sortir de cette endroit lugubre, dont l'étroitesse rendait la promiscuité avec ses camarades d'infortunes un peu trop importante à son goût. Et les paroles de la sorcière, la seule de leur petit groupe, ne firent que renforcer cette envie.
- Pardonnez moi mais ici tout le monde à l'air de vouloir donner des ordres alors que premièrement je ne sais même pas qui vous êtes, deuxièmement ce stupide chien qui continue à renifler partout commencé à me taper sur les nerfs et troisièmement il est hors de question que je sorte dans la nuit sans chaussures, oui parce que je suis pied nus, et dans le froid en ne sachant même pas où on est. A mon avis on ferait mieux de chercher de l'aide.
Au mot "stupide" un grondement sourd monta du poitrail de Casper. Malgré son asocialité notable, il avait un ego, vestige d'une éducation de Sang-Pur. Et entendre cette pimbêche pleurnicharde et prétentieuse le traiter non seulement de chien, mais de stupide... Il lutta contre l'envie viscérale de se jeter à sa gorge. Le stress de la situation qui était retombé depuis peu remontait en lui à vitesse grand v. Il avait terriblement envie de se défouler, et s'il y avait quelqu'un ici dont il se serait bien passé de sa présence, c'était elle. Au moins les autres avaient l'air d'être un minimum utile. Son hostilité était évidente. Il grognait en sa direction, les muscles crispés. Pour un peu, il aurait presque reprit sa forme humaine pour lui répondre vertement qu'elle n'était ni d'une grande utilité, ni d'une grande pertinence. Mais après tout... Elle n'en valait pas la peine. Il se calma presque aussitôt, et lui tourna le dos...non sans lui marcher sur ses délicats pieds nus au passage. Dommage pour elle. Malgré son manque de tact, il ne pouvait nier qu'elle avait raison : sortir maintenant n'était peut-être pas la meilleure idée. Surtout sans baguette. Non pas qu'il en eut jamais vraiment besoin, mais la plupart des sorciers étaient faibles sans leur précieux bout de bois. Il continua donc de fouiller partout, espérant trouver les baguettes, des indices sur ce qu'il se passait, ou peut-être d'autres gens perdus eux aussi ?
Les choses pourraient difficilement être pires, mais cela ne veut pas dire qu'elles ne le seront pas...
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» Dim 6 Jan 2019 - 22:33
UN TRAIN DANS LA NUIT
LES VOYAGEURS
A mon plus grand regret, personne n’avait de baguette. Comme était-ce possible, que nous ayions tous oublié notre baguette ? Il fallait le faire ! En fin bref, quelqu’un était sorti de l’ombre, un homme, au son de sa voix et…
- Pas de baguette ici non plus ? Je suppose que nous allions les chercher. Votre issue est toute trouvée : les fenêtres. J’ai explosé la vitre de celle de ma cabine, le passage est suffisamment grand pour pouvoir sortir dans la nuit.
Moriarty, un langue de plomb du Ministère avec qui il m’arrivait de travailler. C’était un agent efficace et je me sentais déjà soulagé de savoir que je n’allais pas à avoir à gérer tout ce petit monde seul.
- Pardonnez moi, lança alors Taylor derrière moi, mais ici tout le monde à l'air de vouloir donner des ordres alors que premièrement je ne sais même pas qui vous êtes, deuxièmement ce stupide chien qui continue à renifler partout commencé à me taper sur les nerfs et troisièmement il est hors de question que je sorte dans la nuit sans chaussures, oui parce que je suis pied nus, et dans le froid en ne sachant même pas où on est. A mon avis on ferait mieux de chercher de l'aide.
Je me tournais vers elle piqué au vif. Pour qui se prenait-elle ? Savait-elle penser à autre chose qu’à sa petite personne ? Non loin de là, le chien était devenu particulièrement agressif. Il semblait avoir compris les paroles de la sorcière, c’était étrange, mais je préférais ne rien dire à ce sujet. Faisant face à la brune, je pris soin de lui expliquer clairement les solutions qui s’offraient à elle :
- Pour répondre à votre première question, M. Moriarty et moi même sommes deux tireurs d’élite du Ministère, Miss Taylor, répliquais-je. Personne ne vous oblige à suivre mon collègue à l’extérieur, il y a pleins de wagon à votre disposition pour que vous preniez soins de vos pieds.
Je marquai une pause avant de reprendre à l’attention de tout le monde :
- Je pense tout de même que sortir peut-être une bonne idée, si vous avez une chance de récupérer vos baguettes ou de rencontrer d’autres personnes qui ont aussi trouvé une issue. D’autant plus que le ciel s’est peut-être dégagé, vous pourriez même en savoir plus sur l’origine de l’accident.
Il fallait néanmoins que je continue. Sortir d’ici n’était pas dans mes objectifs principaux, je devais d’abord m’assurer que personne n’était coincé où que ce soit. Si je pouvais remonter tous les wagons jusqu’à atteindre celui de la direction, ce serait le mieux. Je m’approchais à tâtons de Moriarty dont je voyais la forme de la silhouette se dessiner petit à petit.
- Je pense que je vais continuer à chercher à l’intérieur des wagons, lui expliquai-je. Il y a peut-être des gens encore bloqués ou des détails auxquels nous n’aurions pas fait attention. Si ça ne vous dérange pas, je laisse ceux qui veulent sortir à votre charge, je sais qu’ils seront entre de bonnes mains.
Alter ego(s) : Evan Jones - Gemma Landre - Mary Serero
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» Dim 6 Jan 2019 - 23:23
S'éveillant, Héra ouvrit avec difficultés ses paupières étonnement lourdes. Son regard peina à s'habituer à la luminosité trop faible qui éclairait le lieu dans lequel elle se trouvait. Quel était-il, d'ailleurs ? La sorcière ne parvenait à se remémorer de ce qu'elle avait fait avant de s'endormir, ni d'avec qui elle avait été, encore moins d'où. Elle était incapable de définir son dernier souvenir. Le mal de crâne qui envahissait son esprit se faisait d'autant plus vif lorsqu'elle tentait d'y réfléchir.
Pourquoi faisait-il si sombre ? Elle n'était en capacité de déceler que certaines des formes des objets qui l'entouraient, et encore pour une partie de ceux se trouvant sous un morceau de vitre. Celle-ci s'élançait pour se perdre dans la pénombre si bien qu'elle n'en distinguait pas le bout. Le décor n'en était que plus lugubre.
Tâtonnant, elle décida de ne pas se lever pour ne prendre aucun risque. Le sol avait une inclinaison anormalement pentue. Elle se sentait chuter alors qu'elle s'éloignait à quatre pattes de son point d'ancrage. Ses mains touchèrent divers objets et surfaces pour finalement heurter ce qui lui sembla être une poignée. N'émettant qu'un cliquetis bruyant, elle ne s'actionna pas.
Les murs étaient proches, trop proches, et elle se sentit étouffer dans cette boîte hermétique. Son amnésie partielle n'arrangeait pas son état de panique. Elle parvenait habituellement à se raisonner et garder un certain sang-froid mais faire preuve d'hardiesse ne palliait pas la peur.
La jeune femme se mit debout afin de parvenir à ouvrir cette porte qui la séparait de l'inconnu. Elle s'ouvrit sans mal, ce qui la rassura, donnant sur un décor tout aussi obscure. Il lui sembla percevoir des éclats de voix et elle décida d'essayer d'avancer jusqu'à elles en gardant un certain équilibre.
La prophétesse
Âme errante MDJ
Photo d'identité :
Bio : Certains disent que son nom est Ursula, d'autres qu'elle n'est qu'une ombre sans vie. Tu la croiseras au détour de l'allée des Embrumes et, si tu as de la chance, au lieu d'aboyer elle lira ton destin dans la paume de tes mains.
Permis de transplanage : ✘
Porte-monnaie (G) : 546
Gringotts : Pas de compte
Ecole : de la vie
Inventaire : Aucun bien listé
Pseudo IRL : Mystère !
Date d'inscription : 04/10/2017
Parchemins : 307
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» Ven 15 Fév 2019 - 16:30
L'heure de la libération
Le wagon est agité d'une nouvelle secousse. Moins violente que la première, vous pouvez cette fois identifier sa provenance : un coup semble avoir été donné depuis l'extérieur de la porte que vous avez désespérément essayé d'ouvrir. En vous approchant vous entendez des voix, de plus en plus distinctement, sans parvenir à déceler les mots prononcés. Dans le flou, enfermés depuis de longues heures maintenant, vous tentez de deviner leurs intentions sans y parvenir. Certains peuvent essayer de communiquer, d'autres préfèrent les ignorer et se dissimuler d'eux, rien n'y fait et l'épaisseur de la paroi empêche toute communication.
Vous comprenez que ces sorciers s'acharnent pour vous libérer lorsque le verrou céde enfin dans un cliquetis sonore. Leurs baguettes éclairent leurs visages et les alentours tandis qu'ils vous aident à vous extraire du train. Aucun n'est néanmoins capable de vous expliquer la nature de votre accident, ni de ce qui l'a causé ...