Alter ego(s) : Evan Jones - Gemma Landre - Mary Serero
Médailles :
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
» Mer 28 Fév 2018 - 21:33
Sucreries
Avec Charlie Walsh
Cela faisait une demi-heure maintenant qu'Héra attendait un auteur avec lequel elle avait rendez-vous aux Trois-Balais. Il était prévu qu'ils voient ensembles quelques points du livre qu'il écrivait pour en vérifier la cohérence historique. Son récit portait sur les péripéties d'un jeune sorcier qui tentait de comprendre les rouages de la seconde guerre alors même que celle-ci n'était pas terminée. Tenant à ce que cela reste vraisemblable il avait fait appel à la journaliste.
Elle était sagement restée sur sa petite chaise inconfortable en sirotant diverses boissons pour passer le temps. Un serveur était arrivé alors qu'elle commençait sérieusement à s'interroger pour l'informer qu'il ne viendrait pas ; un hiboux était arrivé et on leur avait demandé de faire passer le mot. C'était d'une impolitesse incroyable quand on considérait qu'elle prenait bénévolement de son temps pour l'aider. Soupirant, elle chassa l'exaspération première qui avait commencé à l'habiter, décrétant qu'elle profiterait tout de même de sa matinée. C'était l'occasion de se promener dans Près-Au-Lard comme elle ne l'avait pas fait depuis longtemps maintenant. Elle sortit du pub et arpenta les rues évocatrices de souvenirs de sa scolarité qui avait été si heureuse. Quand elle passa devant la boutique de Honeydukes, elle hésita à peine avant de franchir le pas de la porte. Les étalages colorés auraient fait sourire n'importe qui et elle replongeait en enfance. De jeunes sorciers se pressaient dans les allées leur maigre bourse à main. C'était tellement agréable.
Des confiseries emplissaient les bocaux tandis que des sucreries plus appétissantes les unes que les autres étaient exposées dans leurs emballages travaillés. Le lieu n'avait en rien perdu son charme, bien au contraire. Peut-être paraissait-il moins vaste, mais c'était tout. Un bambin qui courait passa près d'elle en renversant par la même occasion un présentoir pleins de bonbons bariolés empaquetés. Elle eut pour réflexe d'essayer d'en empêcher la chute, en vain. Voulant se montrer utile elle entreprit de les ramasser, un jeune homme qui avait assisté à la scène la rejoignant.
Par Héra Greengrass
Dernière édition par Héra Greengrass le Ven 9 Mar 2018 - 0:20, édité 1 fois
Invité
Invité
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
» Jeu 1 Mar 2018 - 12:10
Roules les sucreries !
« L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres ; rien n'est moins sensé que d'y vouloir substituer les nôtres. » ft Héra Greengrass
Charlie n'aurait pas réussi à deviner si il était fou, ou juste tête en l'air. La deuxième variable semblait plus adéquate et correspondait sûrement mieux. Mais pas le temps de faire des jérémiades : il se trouvait debout face à plusieurs cartons. Sauf qu'il en manquait un. Le garçon aux cheveux bruns était presque certain d'avoir reçu la dernière commande plume en sucre, des friandises très appréciées des petits comme des grands puisqu'elles pouvaient se manger n'importe où. Même en cours et même en réunion. Si bien qu'elles partaient assez vite, et Charlie avait commandé un nouveau carton la semaine précédente et celle-ci semblait avoir disparu miraculeusement. Soupirant une nouvelle fois, le vendeur se gratte la tête, ses yeux dévalant la remise afin d'essayer de trouver le fameux carton perdu. Parfois, Charlie se maudissait d'oublier tout aussi facilement, surtout lorsqu'il s'agissait de son travail, un travail qui le prenait toujours à cœur et qui ravivait son âme d'enfant. Et c'était exactement ce qui se passait en ce moment.
En entendant son employé marmonner dans son coin, le patron de la célèbre confiserie passe sa tête dans l’entrebâillement de la porte tout en lui demandant ce qu'il se passait. Charlie, en toute franchise, lui avoue. Le gérant de la boutique ne prête même pas attention au problème : il savait son employé débrouillard et puis.. il connaissait à connaître la caractère son petit protégé.
- Vous inquiétez pas, je vais retrouver les plumes en sucre.
Vraiment ? Était-ce bien une promesse ou plutôt une phrase pour se réconforter ? Le garçon grimace, puis reprend cette fois-ci les recherches avec sa baguettes, soulevant avec un sortilège les commandes une à unes. Mais rien, celle qui était perdue ne se trouvait pas derrière les autres cartons et n'était ni dissimulée sous une couverture. Charlie secoue sa tête comme pour reprendre ses esprits et s'arrête : à s’énerver ainsi, il ne trouverait pas les plumes. Si bien qu'il prend la décision de faire une courte pause et de se calmer. Mais il n'a même pas le temps de respirer qu'un brouhaha retentit dans la boutique. Par reflex, le garçon ferme les poings et les yeux fermement et est presque replié sur lui-même à l'entente du bruit : il prenait cette position à chaque fois qu'il cassait quelque chose, fermant les yeux comme pour s'éviter le massacre. Mais lorsqu'il rouvre les yeux, il remarque enfin que ce n'était pas lui la cause du fracas.
- Je m'occupe de ça, Chef !
Le vendeur se précipite alors dans le magasin tout en songeant qu'il n'aurait pas du rester aussi longtemps dans l'arrière boutique : d'habitude il restait à surveiller les nombreux enfants qui venaient afin de vérifier qu'ils ne foutaient pas le bordel. En arrivant, le bouclé retient un soupir de soulagement, plaquant presque ses mains sur ses joues de bonheur : c'était le réservoir de Fizwizbiz et heureusement, ils étaient dans des petites pochettes, à la différence du réservoir des dragées surprises. Il entreprit d'aider la jeune femme qui commençait à ramasser les fameux sachets et à deux, le réservoir était à nouveau remplit en à peine quelques minutes.
- Merci beaucoup de m'avoir aidé, vous n'étiez pas obligée. Après tout c'est moi ici le vendeur, mais si vous avez un peu de temps.. on peut toujours vous embaucher puisque vous semblez prête pour être vendeuse ! fit-t'il en riant, une fois redressé sur ses deux pieds, le réservoir entre ses mains.
Son rire était voluptueux, un rire d'enfant. Puis tout souriant, il ose enfin déposer son regard dans les prunelles chocolatées de la jeune femme qui était venue à son secours. Il la trouvait très polie et remarquable d'ailleurs, beaucoup de personnes n'auraient pas daigné faire ceci et auraient à peine jeté un coup d’œil au vendeur. Tout en reposant la bonbonne de Fizwizbiz, cette fois-ci plus haut afin que l'erreur de le faire tomber ne soit plus d'actualité, il déclare somptueusement :
- Pardon, j'en ai complètement oublié la politesse. Avez-vous besoin de suggestions ou d'aide pour vos achats ?
Alter ego(s) : Evan Jones - Gemma Landre - Mary Serero
Médailles :
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
» Jeu 1 Mar 2018 - 17:56
Sucreries
Avec Charlie Walsh
Le vendeur qu'elle avait vu approcher l'aida à ramasser les sachets. A deux ils allèrent plus vite, surtout parce que le jeune homme avait été particulièrement efficace. Ils réussirent donc à tout récupérer rapidement si on considérait le nombre important de produits. Ça avait beau ne pas être très professionnel il aurait pu la laisser se débrouiller seule et elle aurait pris bien plus de temps. Reconnaissante, elle lui sourit en se relevant tandis qu'il s'adressait à elle.
" - Merci beaucoup de m'avoir aidé, vous n'étiez pas obligée. Après tout c'est moi ici le vendeur, mais si vous avez un peu de temps.. on peut toujours vous embaucher puisque vous semblez prête pour être vendeuse !
Il s’esclaffa et elle se joignit à lui. Son rire était particulier, empli de candeur et oh combien adapté dans ce lieu. Les patrons savaient choisir leurs employés et sélectionner les profils qui correspondaient à l'image de leur boutique. C'était important pour conserver l'ambiance qui y régnait, une chose primordiale pour préserver toute la magie de l'échoppe.
- C'est normal, je n'allais pas le laisser dans cet état et passer comme si de rien n'était. Et pour la proposition d'emploi je retiens, c'est toujours intéressant à savoir ...
Plus sérieux, le sorcier sembla se reconcentrer, se rappelant probablement son rôle.
- Pardon, j'en ai complètement oublié la politesse. Avez-vous besoin de suggestions ou d'aide pour vos achats ?
Elle secoua négativement la tête tout en laissant un rictus amical se dessiner sur son visage.
- Non, ça ira merci. Je passais juste regarder, en fait. Ça fait longtemps que je ne suis pas venue par ici, depuis la fin de ma scolarité à vrai dire et c'est amusant de voir à quel point c'est similaire à avant tout en était différent.
Sans vraiment y songer, elle déballait ses pensées alors qu'il était un inconnu qui travaillait. Elle était comme ces vieillards qui accaparaient toute l’attention des commerçants pour tuer l'ennui.
- Je voudrais pas vous déranger, vous devez avoir pas ma; de choses à faire, se reprit-elle, gênée. "
Sa propre attitude l'insupportait. En voulait profiter de son temps elle en faisait perdre à d'autres.
Par Héra Greengrass
Invité
Invité
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
» Jeu 1 Mar 2018 - 22:55
Roules les sucreries !
« L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres ; rien n'est moins sensé que d'y vouloir substituer les nôtres. » ft Héra Greengrass
Voilà qu'il reprend son rôle de vendeur à la perfection : serviable et charmant. C'était bien loin du réel personnage qu'il était, lui qui est d'habitude si timide et si maladroit dans tes propos. C'était grâce à ce boulot, beaucoup n'avaient pas leur job comme "passion". Charlie trouvait ça dommage d'avoir un métier ennuyant. Ici, tous les jours étaient une nouvelle aventure. La jeune femme s'esclaffe tout de même avec lui, et ce dernier ne peut être que soulagé : habituellement ses blagues sont bien reçus, mais cette fille dégageait un charme particulier. Une prestance naturelle, visage un peu strict et elle paraissait cultivée et sérieuse : il aurait pu jurer qu'elle avait un peu de sang aristocrate par-ci et par-là.
- C'est normal, je n'allais pas le laisser dans cet état et passer comme si de rien n'était. Et pour la proposition d'emploi je retiens, c'est toujours intéressant à savoir...
Elle semble même faire de l'humour et Charlie la remercie du regard, tout en ajoutant un de ses fameux sourires enfantins. Il aurait trouvé sa réponse peut-être un peu trop poli et déplacé chez Honeydukes. Ici, on s'amusait. Même si l'ancien Poufsouffle lui avait gentiment proposé son aide, cette dernière refuse dans un mouvement de tête avec un léger sourire qui n'avait rien de déplaisant à regarder. Mais Charlie n'est en aucun cas vexé, il lui répond avec un plus grand sourire, déplaçant ses grandes jambes, prêt à lui donner congé après un dernier regard. Mais il n'a pas le temps de finir de pivoter, que la jeune femme s'est mise à parler. Le vendeur se retourne alors, attentif.
- Non, ça ira merci. Je passais juste regarder, en fait. Ça fait longtemps que je ne suis pas venue par ici, depuis la fin de ma scolarité à vrai dire et c'est amusant de voir à quel point c'est similaire à avant tout en était différent.
Lors de son récit, le sourire poli et accueillant de Charlie se fit plus grand, montrant enfin un sourire amical. Un voile de nostalgie logeait sur les prunelles sombres du garçon, ses yeux pétillaient de malice et de compréhension. Le bouclé ne pouvait que comprendre. Il aimait tout particulièrement ce lieu, et c'était pour cela qu'il était venu ici. Et il appréciait aussi qu'une belle inconnue vienne déballer ses pensées.
- Oui, cette boutique a une charme tout particulier. J'en suis fier d'être un vendeur, ça me permet de voir des nouvelles têtes tous les jours. Nous tenons tout particulièrement à ce que cet endroit reste comme il est, la modernité n'a pas de charme ici. Nous voulons faire de ce lieu un endroit familial pour petit et grand, parce que la gourmandise n'a pas d'âge !
Mais le vendeur se force à s'arrêter. Sa voix est emplit d'une passion et s'il ne s'arrête pas, il risque de partir trop loin. Les yeux brillants et une gestuelle constamment en mouvement -super-actif, voyez-vous-, il se crispe légèrement en voyant la mine de la sorcière. Elle semble moins avenante, presque déçu par soi-même et son sourire ne semblait plus aussi étincelant qu'avant. Le garçon fronce les sourcils et sa bouche est légèrement ouverte, comme s'il voulait parler mais qu'aucun son ne sortait.
- Je voudrais pas vous déranger, vous devez avoir pas mal de choses à faire
Oh ! Il était si absorbé par la conversation et cette charmante jeune femme qu'il en avait oublié son job. Il était censé travailler. Charlie aussitôt jeta des regards en biais sur les côtés, regardant derrière les meubles tel un espion l'aurait fait. Après avoir vérifié, il retourne vers la jeune femme avec un sourire : son patron semblait parti.
- Oh vous savez, être vendeur est parfois ennuyant malheureusement. Avoir un peu de compagnie est parfois bénéfique pour le moral. Vous ne me dérangez pas et puis.. il lui adresse un petit clin d’œil. Mon patron n'est plus en service, c'est moi qui dirige maintenant ! Je m’appelle Charlie Hélios Walsh, mais vous pouvez m’appeler Charlie !
Mais qui était assez fou pour donner son nom complet à des inconnus ? Lui, visiblement.
Alter ego(s) : Evan Jones - Gemma Landre - Mary Serero
Médailles :
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
» Dim 4 Mar 2018 - 17:06
Sucreries
Avec Charlie Walsh
Le jeune homme lui fit un court speech sur la boutique mais il ne semblait pas être publicitaire. Il s'exprimait avec passion et était vraiment en adoration devant son lieu de travail. C'était pour cette raison qu'il s'épanchait dessus, pas pour le glorifier mais exprimer son opinion en toute sincérité. La sorcière le perçut de cette manière du moins.
"- Oui, cette boutique a une charme tout particulier. J'en suis fier d'être un vendeur, ça me permet de voir des nouvelles têtes tous les jours. Nous tenons tout particulièrement à ce que cet endroit reste comme il est, la modernité n'a pas de charme ici. Nous voulons faire de ce lieu un endroit familial pour petit et grand, parce que la gourmandise n'a pas d'âge !
C'était super d'aimer autant ce dans quoi on travaillait. Son propre emploi ne lui déplaisait pas mais elle ne montrait pas autant d’enthousiasme que lui pour autant. Il était particulièrement heureux et c'était assez remarquable. Presque inspirant. Ce n'était pourtant pas un post particulier mais il se contentait de sa simplicité et savait s'en accommoder.
Quand elle s'inquiéta de le déranger, il la détrompa.
- Oh vous savez, être vendeur est parfois ennuyant malheureusement. Avoir un peu de compagnie est parfois bénéfique pour le moral. Vous ne me dérangez pas et puis.. Mon patron n'est plus en service, c'est moi qui dirige maintenant ! Je m'apelle Charlie Hélios Walsh, mais tu peux m’appeler Charlie !
Ainsi, il pouvait manquer de sérieux ... C'était amusant. Il savait aussi s'évader du cadre dans lequel il se trouvait pour penser aussi à autre chose.
- Dans ce cas-là, je vais peut-être vous voler encore un peu de votre temps.
Elle se rappela qu'il venait de lui donner son nom et elle lui retourna le sien.
- Héra Greengrass. Je suis journaliste à la Gazette. "
Elle associait cette dernière affirmation à sa personne presque comme si elle ne pouvait exister sans. C'était un fait qu'elle ne négligeait jamais en se présentant, ou c'était vraiment que le cadre ne s'y prêtait pas.
- Hélios ? Reprit-elle en relevant ce qui l'avait interpellée. Par rapport à la mythologie grecque ? "
C'était un sujet qui la passionnait depuis l'enfance et l'intéressait toujours autant.
Par Héra Greengrass
Invité
Invité
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
» Lun 5 Mar 2018 - 22:33
Roules les sucreries !
« L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres ; rien n'est moins sensé que d'y vouloir substituer les nôtres. » ft Héra Greengrass
Charlie sentit un sourire malicieux s'afficher sur son visage : il était vrai qu'un peu de compagnie ne faisait jamais mal à personne, même pour le plus buté des serpentards. Il avait l'impression que sa joie communicative se rependait vers la jeune femme dont il ne connaissait pas encore le nom : c'était ce qu'il adorait le plus. Éclairer un peu plus la vie des gens, même pour quelques secondes.
- Dans ce cas-là, je vais peut-être vous voler encore un peu de votre temps.
En entendant ses paroles, il sentit une douce chaleur se répandre dans son ventre : ah qu'est-ce qu'il aimait lorsqu'un client restait un peu avec dans sa boutique. Etre vendeur, c'était aussi du social et hors de cette situation, Charlie était certain de ne pas réussir à lui parler ainsi. Elle était gentille, elle aussi, de partager un peu de son temps aux pauvres vendeurs du coin. Il la remercia d'un regard, dévoilant cette fois-ci ses dents dans son sourire.
- Héra Greengrass. Je suis journaliste à la Gazette
Vraiment ? Elle était vraiment journaliste ? Il ne l'aurait jamais imaginé un instant dans ce secteur : il la voyait plus chez le ministère ou quelque chose du genre. Voilà où conduisait la première impression. Mais il était tout de même étonné : rares étaient le journalistes qui venaient ici. C'était plutôt plaisant d'en voir, surtout une qui n'avait pas l'air de venir pour écrire un sujet sur Honeydukes, ou à critiquer l'hygiène de ce lieu et bien d'autres conneries.
- Hélios ? Par rapport à la mythologie grecque ? "
Le vendeur eut une légère grimace : son prénom signifiait surtout l'aversion de sa mère pour la mythologie qu'elle affectionnait tant. C'était une française qui avait appris le latin et le grec, et qui voyait une forme de beutée dans "appeler son enfant Hélios". Bien heureusement, son père avait toujours refusé un nom mythologique en premier, de même pour son beau-père. Mai le fait qu'elle en parle lui plaisait plutôt bien : beaucoup se fichaient de son deuxième prénom.
- Oui, Hélios, comme la mythologie ! Ma mère en est véritablement passionnée, mais ça me plaît plutôt bien aussi. Vous vous appelez Héra, non ? C'est aussi en rapport à la mythologie ? Comme la déesse du mariage, de la vie et de la famille ?
Alter ego(s) : Evan Jones - Gemma Landre - Mary Serero
Médailles :
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
» Jeu 8 Mar 2018 - 22:06
Sucreries
Avec Charlie Walsh
Le sorcier paraissait assez peu satisfait même s'il n'y avait pas de raison visible à cela. En ce qui la concernait, Héra trouvait que son deuxième prénom était plutôt intéressant.
"- Oui, Hélios, comme la mythologie ! Ma mère en est véritablement passionnée, mais ça me plaît plutôt bien aussi. Vous vous appelez Héra, non ? C'est aussi en rapport à la mythologie ? Comme la déesse du mariage, de la vie et de la famille ?
Elle n'avait jamais vraiment connu l'origine de son prénom, s'il avait été choisi pour représenter certains symboles ou si la sonorité avait seulement plu. Si c'était pour cette première raison qu'ils l'avaient sélectionné, ce n'était pas très optimiste pour le futur de leur fille ; la déesse était plus réputée encore pour être la femme perpétuellement trompée de Zeus que tout autre exploit. Elle ne voyait pas bien en quoi ils auraient eu envie qu'elle représente ces symboles à travers son nom. C'était tout de même un assez mauvais présage.
C'était sa mère qui avait décidée qu'elle le porterait mais c'était son père qui était passionnée par la mythologie. Cela expliquait sûrement que sa génitrice ai pu la nommer ainsi malgré toutes les connotations que cela impliquait.
- Ça a sûrement un rapport mais je ne sais pas vraiment à quel degré.
Elle allait continuer à déblatérer encore, prête à embrayer sur ce sujet qui lui plaisait tant. Son géniteur avait pensé à lui transmettre son intérêt pour le domaine et elle n'avait jamais cessé de l'étudier. Que ça ai été à Poudlard, avec lui ou même encore adulte, elle se cultivait comme elle le pouvait à travers les divers ouvrages qu'elle trouvait.
Un enfant les interrompis, s'adressant à Charlie. Il était jeune, il devait avoir cinq ou six ans tout au plus. Avec un grand sourire édenté, il lui tendit un papier tout griffonné.
- Je veux tout ça, demanda-t-il de sa voix fluette, mais je trouve pas où c'est.
La journaliste s'esclaffa et se tourna vers le vendeur.
- Je crois qu'il est temps que je m’éclipse. Peut-être à une prochaine fois, qui sait ? "
Sur ces mots, elle lui offrit un rictus amical avant de s'éloigner et retourner errer dans le village.
Par Héra Greengrass
Contenu sponsorisé
Job x Education ...
Liens x rpg ...
Infos joueur ...
☰Inventaire
»
Page 1 sur 1 /
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum