◊ Caractère du personnage :  Autant commencer par le début que de tourner autour du pot, non . Les personnes qui me connaissent, savent rapidement se rendre compte quand quelque chose ne fonctionne pas avec moi. Je supporte assez bien l’alcool, surtout quand il s’agit de boire avec des amis, bien qu'en ce moment, je sais que je finis toujours par déraper et me terrer dans ma « bulle », espérant que personne n’y vienne me déranger. D’ordinaire plutôt têtu, sadique et rancunier, sachez que ce que je vous dis là, devrait vous mettre la puce à l’oreille. Je suis un mauvais garçon, donc si vous voulez un conseil, une mise en garde en quelque sorte. S’il y a bien un sujet à ne pas plaisanter dessus et à ne pas prendre à la légère, c’est bien sûr ma famille et le lien qui m’unit entre mon père et moi. Une réplique, une rumeur ou même une insulte qui sortirait de votre bouche et je me ferait une joie de vous voir souffrir sans précédent, sans remords aussi. Quand bien même vous me supplieriez d’arrêter, je continuerais jusqu’à votre dernier souffle. Vous l’aurez donc compris, je suis comme un psychopathe avec des allures plutôt « pervers » sur les bords, je n’abandonne jamais et vous serez sans doute le premier ou la première à craquer devant moi. Donc, un conseil, déguerpissez avant que je ne vous attrape, car si je vous attrape, vous êtes foutus.

Cependant, je peux être un ami loyal, une oreille attentive, un amant fidèle à son poste et pourtant, je continue de briser les cœurs de tout le monde sans hésitation. Si au départ, j’étais un homme qui se la jouait de tout, qui semblait joyeux et autres, maintenant, j’ai appris à garder ce masque tandis que sous ce dernier, je suis tout son contraire. Bien sûr que non, je ne suis pas suicidaire, mais réaliste. J’ai les pieds sur terre, j’ai appris à me battre tout seul pour arriver jusqu’ici, plus ou moins, sain et sauf. Fatigué de faire semblant, fatigué de voir comment ma vie part en sucette et qui s’explose aux quatre coins du vent, voir du monde... Et ce n’est pas faute d’essayer de l’égayer un peu en passant de bons moments avec mes proches ou des tendres compagnies d’un soir. Donc, oui, en somme, je souffre de son « absence » dans ma vie. Je souffre d’un amour inconditionnel, qui ne se juge pas sur le temps, ni la durée. D’un amour qu’on ne peut exprimer et qu’on ne peut dire quelle importance, il a dans ma vie. Je souffre car je n’ai plus aucun centre d’intérêt pourquoi ou qui que ce soit aussi.

Avec le temps, je me suis jeté tête baissée dans ma bulle. À cause de ça, on pourrait croire que je suis quelqu’un de solitaire, que j’apprécie la solitude bien plus que la présence des gens autour de moi et pourtant, notez que j’adorais à l’époque, être entouré et être au centre de l’attention, maintenant, je me fiche du regard des autres et de ce qu’on dit de moi... Qu’elle soit masculine ou féminine, je ne fais pas le difficile, tout y passe avec moi tant que c’est de la bonne et attrayante compagnie. (Tant que ça reste des êtres humains, hein !) Ajoutez à cela que bien souvent, je donne l’impression de prendre les gens de haut, surtout les inconnus qui croisent ma route à cause de mon regard incertain, un peu brusque et dur, tout ça parce que je m’interdis de tomber amoureux de quelqu’un d’autre aussi, sans doute.

À vrai dire, autant dire qu’il est plutôt difficile de décrire mon caractère, je suis d’un naturel imprévisible. J’agis au jour le jour en fonction des situations qui se présentent devant mon nez. Je peux tout aussi bien être adorable, mignon et l’instant d’après, être un vrai enfoiré qui en profiterait pour vous enc-…tuber par derrière et sans même vous demander votre avis. En règle générale, je suis un futur mangemort, comme l'est mon père. Tout ce que vous devez retenir, c’est qu’il vaut mieux pour vous que vous ne m’ayez pas dans le collimateur, car une fois énervé, je vous abats aussi facilement qu’un château de carte. Que ce soit avec ma baguette ou mes mots. Puis, autant vous dire aussi que je suis quelqu’un de direct, je suis capable de dire les choses franchement et plutôt naturellement, donc si votre tête ne me revient pas, et bah, tant pis pour vous ? En somme, je ne suis pas quelqu’un de peureux, ni faible. Plutôt courageux sur le long terme, je sais quel sont mes points forts et points faibles.

◊ Histoire du personnage :

◊Introduction◊;
Né d’une famille noble et d’une lignée parfaite de sang pur en Angleterre à Godric's Hollow plus précisément, au sein du manoir familial en même temps que ma sœur jumelle, Lysandre Avery. Il n’est pas rare que le nom de ma famille ne vous soit guère étrangère. On doit notre popularité à nos revenus, notre sang, notre rang, nos richesses et notre pouvoir dans cette immense ville, du moins, du temps de l'Ordre Noir... Dirigé d’une main de maitre et d’une poigne de fer par le célèbre père Argos Avery, qui de l’extérieur semblait être un Mangemort en cavale. Laissez – moi vous dire que les apparences sont souvent trompeuses, surtout en ce qui le concerne. Cette charmante ténébreuse personne n’est qu’au premier regard qu’un élément perturbateur, un destructeur et un profiteur. Il n’est rien d’autre que le diable en personne. Il tente désespérément de rallier son fils, moi, sous les regards de sa femme, de sa fille, du moins ...de son vivant. Prétendant lui inculquer les bonnes manières, de lui faire avoir un bel avenir ainsi qu'une belle cause à défendre aussi. Tout ça pour montrer que son pouvoir est sans failles et que rien ne peut l’arrêter soit-disant. À cette époque, j'étais obligé de me taire avec la peur au ventre de mourir, un jour. Cependant, je savais que la situation s’inverserait, comme une intuition qui résonnait dans ma tête ... Je me disais que je bâterais mon père à son propre jeu, en allant bosser pour un certain Gustav à ma sortie de Poudlard. J'ai eu droit à des ragots provenant de certaines bouches qui me sont proches, notamment ce cher Zackary qui vient, lui - même, de Russie, ce cher Gustav ressemblerait à Vous Savez Qui, même si ce dernier s'est fait battre à plate couture par "Potter", mais ça, c'est un secret, vous n'êtes pas censé le connaître. Après tout, officiellement, je suis irréprochable, nul n'est censé savoir que je me laisse corrompre par les folies de mon père et cette part de Ténèbres, ce monde obscure qui m'appelle et me fait de l'oeil depuis gamin...Je sais que je vais me faire traiter d’impitoyable sans-cœur et de [censuré] si on vient à l'apprendre que je joue un double-jeu, je sais aussi que l’on finira par me craindre plus que les autres Mangemorts en fuite, référence à mon Père. J’avais beau avoir été studieux durant mon parcours scolaire, parfait dans mon ambition de vouloir toujours donner le meilleur de moi – même, bourré de talents en devenant un Sorcier d'élite au sein du Ministère de la Magie… Je finissais toujours par être dans la ligne de mire de mon paternel, il pense être fier de mes ambitions, que ce soit officiellement et officieusement parlant.

◊Chapitre 1◊;
D’un point de vue extérieur, mon paradis sonnait plus vrai que nature, cependant, intimement, mes rêves sont chaotiques, anarchique... bien que ce soit à partir de là que j'ai reçu ma baguette et mon animal de compagnie ainsi que mes fournitures scolaires... à l'âge de ma première année à Serpentard. Qu’auriez – vous faites à ma place, qu’auriez – vous dis pour changer les choses. Rien. Il me pointait du doigt en disant que c'était de ma faute si Lysandre est morte. « Tu n’aurais jamais dû voir le jour, tu l'as tuée ! » scandait mon père, principalement mécontent de moi depuis ce jour-là, parce que j’attirais les ennuies comme de dangereux problèmes dans sa vie depuis que je suis devenu Sorcier d'Élite. "Rien" ...Ces quatre lettres ont eu raison de moi, elles ont fait l’effet d’une bombe à l’intérieur de mon cœur jusqu’à ronger chaque partie de mon corps pour qu’il ne reste plus qu’un monstre semblable à ce qu’était mon père aux yeux de tous sauf de ses amis et de ses alliés. Elles ont aussi explosé ma tour de verre qui protégeait mon innocence, ma dernière chance d’être un gars bien et d’avoir le droit d’aimer qui je voulais, référence à Héra d'ailleurs. À partir de cette époque, j’ai cessé de dire je t’aime à n’importe qui, même a mes parents, la moindre once d’amour avait été exclu de mon vocabulaire. Certes, je pouvais toujours le dire, mais jamais, je le pensais réellement. Saviez – vous que j'étais habité d'un sentiment sur lequel il serait presque difficile pour vous d'y mettre un nom. Je me sentais comme vidé de toutes émotions, j’étais fatigué du comportement de mon père alors qu'il était le vrai coupable de la mort de ma jumelle, fatigué de vouloir fournir des efforts à ses yeux...Pour au final, n’avoir aucune récompense en retour. Même si la fête ne faisait que commencer pour l’ensemble de cette ville archaïque, j’avais littéralement l’impression de perdre pied et de couler, emportant avec moi tout souvenirs joyeux qu’il me restait jusqu’à maintenant. Vous vouliez un coupable à punir, mais regardez – vous dans une glace. Les responsables de cet atroce cauchemar ne sont autres que vous. Je ne suis que le résultat d'une manigance ratée, d'une vie gâchée, d'une moitié disparue pour l'éternité...

◊Chapitre 2◊;
Depuis ma plus petite enfance, je suis animé d’une vengeance sans fin, d’une rancœur sans limite et d’une froideur qui ne connaîtra jamais de repos. Je n’éprouve ni de la pitié pour autrui, ni des remords à faire ce que je fais et de devoir commettre des crimes, tous pire les uns que les autres d'un point de vue officieusement, parlant. Vous ne pouvez que vous plaindre de vous – même, je vous dois ma folie, mon excentricité et si j’approche du seuil critique de dangerosité, c’est grâce à vous aussi. Au début, je commençais par des petits délits, puis, j'ai rapidement atteint les bonnes grâces de G., disons que je voulais juste attirer l’attention de mon père et la seule façon de le faire, je l’ai fait de la plus simple manière qu’il soit. Pendant ces dernières années de tortures malsaines, sachez que j’ai fini par jouer sur deux "plateau" de jeu bien distinct. D'un côté officiel, je suis irréprochable, un sorcier talentueux avec une baguette utile et des sortilèges bien maitrisés malgré mon jeune âge et d'un côté officieusement parlant, je suis l'un des nombreux disciple qui s’acharne à se donner à fond dans ce qu'il fait, sans pour autant perdre pieds ou devenir fou entre mes deux personnalités.  La raison principale de mes motivations n'était pas dure à deviner, je voulais m'endurcir, être Libre, parce que ce Monde m'a détruit… Et ce, depuis tout petit.

◊ Ma famille ◊:
Argos Avery, âgé de 41 ans, d'apparence irréprochable d'après les dossiers de Poudlard, à Serpentard. C'est un monsieur tout le monde qui a fini par découvrir qu'il y a une part de pouvoir et de noirceur dans une société ou la loi martiale du contrôle, égérie notre vie au centimètre carré. Je pourrais vous dire qu'il aime prendre soin de ses allié.e.s., de son "Maître" bien plus que de sa propre famille. Vous racontez qu'il aime prendre son petit-déjeuner en croisant les jambes, cigarette de moldu aux lèvres avec, à la main, une tasse de café.  Qu'au même moment, plongé dans sa Gazette de sorciers depuis que nous avons emménagé ici, qu’il est profondément ancré dans une satanée monotonie. Une routine préfabriquée de toutes pièces par son emploi du temps chargé qui ne laisse pas de place à l’imaginaire ou la créativité. Au fond, ça l’arrange que je le dérange avec mes déboires, mes doutes, mes craintes et mes faiblesses. D'après lui, je suis un problème, un élément perturbateur qu'il se doit d'éradiquer comme ma sœur.  

Constance Avery, âgée de 37 ans, a fini par faire fondre le cœur de mon père, non pas par le plus grand des hasards, puisque c'est une vélane, mais habituée de la scène et de la chorale de Beauxbâtons. C'est, durant l’anniversaire de ses 15 ans, qu’elle s’est vue devenir la tendre moitié du cœur glacial d'Argos pour le restant de ses jours. Elle espérait que sa moitié finirait par s’assagir avec le temps, qu’en devenant père, elle aurait l’occasion de lui montrer que le bonheur se créer à deux et qu’il ne se fabrique pas de toutes pièces, comme il avait l’habitude de le faire. Malheureusement pour elle, son rêve s’est transformé en cauchemar et elle fait de son mieux pour me protéger depuis que Lysandre repose en paix dans le cimetière de Godric's Hollow. Si elle savait, elle essaye toujours de me montrer le droit-chemin parce que je suis son fils, mais j’ai une fâcheuse tendance à m’attirer des ennuis. Si elle savait aussi que je suis en train de marcher dans les mêmes pas que mon père… Si pas pire encore.

Lysandre Avery, assassinée d'un Avada Kedavra à l'âge de 19 ans. Cette demoiselle avait tout pour plaire, irréprochable comme son frère aux premiers regards. Attendrissante, innocente, joyeuse. Elle était le rayon de soleil d'Alexander. Son ange gardien et à la fois, sa part de bonté qu'il gardait précieusement rien que pour lui, juste pour ne pas la voir s'envoler un jour, pour qu'elle rejoigne à nouveau, le Paradis. Ces craintes ont vu le jour, au jour de son décès. Tuée de la baguette de son père, son père qui dans un excès de rage, à cru pouvoir jouir d'une force et d'un caractère d'esprit en tuant Lysandre d'un coup de baguette... Ainsi, lui faisant croire que je ne voulais plus de "lui" dans ma vie... Je sais qu'aux yeux de tous, je suis devenu un "Saint", un gentil garçon modèle... Alors que dans l'ombre, j’œuvre pour un être encore plus pire que l'ancienne personnalité crainte du monde Obscure...Surtout depuis que Lysandre est enterré six pieds sous terre.

◊ Rêves et ambitions pour l'avenir ◊:
Rusé comme un renard ayant avec cela, de l’ambition et des rêves plein la tête. Je vis dans un monde où la créativité et l’ingéniosité ont fait de moi, une arme redoutable envers ce que plusieurs personnes craignent le plus...avec le temps. Je suis un être à part, incompris et isolé par tant d’imagination, connu de ma vrai nature par peu de gens qui ont gagnés ma confiance. Cruel et insensible, cela vous laisse peu de place et assez d’imagination pour deviner quelles sont mes intentions. Officiellement, je compte bosser dur pour atteindre mes objectifs. D’après mon père, je ne suis pas apte à rester en tête de listes parmi les tireurs d'Élites...Mais d’après-moi, je compte bien lui montrer avec la ferme conviction qu’il se trompe. Je suis bien loin d’être un ange, même si j’ai un visage tellement innocent. Après tout, j'ai un naturel penchant vers la magie noire. Que voulez-vous, chasser le naturel, il reviendra au galop.