Hello! J'ouvre une petite galerie pour partager avec vous mes expérimentations/travaux finis de codages. Je suis tombée dedans comme on plonge dans une marmite il y a un peu moins d'un an, et à force de bidouiller des codes trouvés en libre-service ou d'apprendre moi-même via des sites comme Codecademy comment ça fontionne le HTML, le CSS et bientôt le java, j'arrive à fabriquer mes propres petits codes
Faut aussi rendre à Flamel ce qui est à Flamel: je suis pas mal inspirée par les codes de Drago que je trouve fins et très esthétique, ainsi que les codeuses de Crimson Day. Vous trouverez toujours mes inspirations précisées dans les crédits de mes réalisations/adaptations.
Vous trouverez ici des travaux finis, des commandes passées par des joueurs.euses. sur d'autres forums, ou pour moi-même, des essais aussi, des choses en cours d'élaboration...
Des arbres généalogiques, partiels, mais réalisés uniquement en CSS. Je me suis basée sur un article de Ninouee qui s'était basée sur les explications ce tutoriel. En anglais, hélas. Vous devriez voir l'arbre généalogique de Rosalind, adapté à ce forum et en version améliorée, débarquer dans son livret incessamment sous peu.
Je suis sûre que tu as pas mal de choses à dire sur cette personne. Vas-y, lâche-toi. C'est ton carnet, après tout. Ami, ennemi, flirt, crush, amour de ta vie? Une personne, tant de possibles...
+ Prénom Nom + + Age + + Année + + Type de relation +
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Le début du livret de Sam. J'ai réadapté un de mes anciens codes (celui de Chourave), parce que j'avais la flemme d'en créer un complètement nouveau parce que je trouvais que ça lui collait bien. Juste un petit twist au niveau des arrondis, c'est ma marotte du moment.
SAMUEL WIT
INFORMATIONS
"Impose ta chance, serre ton bonheur et va vers ton risque : À te regarder, ils s'habitueront."
René Char
▲NAISSANCE 27 Avril 1984 (21 an)
▲NATIONALITE Ougandaise
▲ASCENDANCE Ne-moldu
▲BAGUETTE Bois de cornouiller, crin de licorne, souple
▲DON Animagus (Tourterelle du cap) / Non-connu du Ministère
CARACTÈRE
Intrépide. L'ennui, ça me rend hargneux. Rester en place, les bras croisés, en attendant que ça se passe, c'est impossible pour moi. J'aime que les choses aillent vite et fort. Tant pis si je dois y laisser quelques plumes. Faut dire que y a pas grand chose qui m'effraie sérieusement. C'est pas que je sois inconscient du danger, au contraire, j'adore ça.
Lunatique. Ouais, j'imagine que je suis pas toujours facile à suivre... Peut-être parce que je me lasse vite. C'est rare qu'une chose retienne mon intérêt pendant longtemps. Du coup je peux passer de l'enthousiasme à l'ennui en un temps record.
Résilient. On va pas s'étaler des heures là-dessus: la vie m'en a fait voir des vertes et des pas mûres. Quand j'étais gamin, on peut pas dire que ça ait été tout rose, et même plus tard, je me suis quelquefois méchamment rétamé. Mais c'est rien. J'ai jamais été de nature à pleurnicher sur mon sort: j'encaisse, je tombe, et je me relève. C'est tout. J'ai appris à me débrouiller, à me fier à mon instinct. Et c'est ce qui fait de moi un mec plutôt coriace maintenant.
Menteur. Mmm... "La nuit je mens, je m'en lave les mains", Alain Bashung, tu connais? Ben, cette chanson, c'est un peu moi. Au début, je mentais surtout pour me tirer de situations compliquées. Puis, en grandissant, je me suis rendu compte qu'un petit mensonge permettait de pimenter les choses, et comme j'adore manger épicé... j'y ai pris goût. Oh, faut pas croire, même si je suis plutôt doué, mes mensonges m'ont aussi amené leur lot d'emmerdes. Mais pas suffisamment pour que ça me passe l'envie de continuer...
Sympathique. Je suis pas un solitaire, j'aime la compagnie et faire de nouvelles rencontres. Et puis, je sais pas vraiment pourquoi, c'est peut-être à cause de mon bagout, mais généralement, les gens m'ont à la bonne. Il paraît aussi que j'ai une jolie petite gueule. J'ai pas trop d'avis sur la question, mais bon, si c'est le cas, après tout, je vois pas pourquoi j'en profiterais pas un peu!
HISTOIRE
/!\ Important /!\:
Il vous l'a laissé entendre: Sam est un menteur. Mais moi je peux vous le dire, toute l'histoire ci-dessous est véridique. Par contre, In-RPG, vous n'êtes pas sensé connaître les détails de son passé. Sur ce sujet, Sam est toujours évasif et si vous essayer de creuser un peu, il vous sortira probablement un bobard bien tourné. À la fois par pudeur, et parce qu'il aime embobiner son monde. De ce fait, vous ne savez pas qu'il est Né-Moldu; si vous lui demandez qui sont ses parents, il vous dira qu'il est orphelin et ne les a jamais connus. Idem pour ses capacités d'Animagus: à moins qu'il ne vous en fasse part, vous n'êtes pas au courant.
Samuel John Ezechiel Joseph Wit. C'est mon nom complet. À croire que mon père a pressenti que je deviendrai moins ange que démon: il a casé dans mon patronyme une bonne mesure de saints et autres prophètes. Ça n'a pas vraiment eu l'effet escompté, et, de toutes façons, personne ne m'a jamais appelé autrement que Sam.
Je suis né le 27 Avril 1984, dans un quartier populaire de Johannesburg, au sein d'une famille blanche qui comptait une tripotée d'enfants. Mon père était le pasteur de l'église du coin et ma mère était constamment enceinte. La contraception, c'était pas vraiment leur truc. On était déjà neuf gamins quand je suis parti, et il y en avait un autre en route. Il fallait filer droit à la maison, ou bien les claques pleuvaient; mes parents n'avaient pas le luxe de faire dans le sentimental. Tant qu'on ne créait pas de souci avec la pastorale ou l'école du quartier, ma mère, surmenée, nous laissait plus ou moins nous débrouiller seuls.
Naître Sorcier dans une famille de Moois - ici, vous dites Moldus - c'est une chose. Se révéler Sorcier entouré de Chrétiens ultra-pratiquants, c'en est une autre. Mes premières manifestations magiques sont apparues et quand le père Wit s'est rendu compte que c'était à mon contact particulier qu'un bon nombre de choses explosaient inopinément dans la maison, il a vu rouge. Bizarrement, il n'a pas cru à un miracle et s'est mis en tête de m'exorciser. Et il ne s'est pas embarrassé de la manière douce.
Les beignes, j'étais habitué mais au bout d'un moment, j'en ai eu ma claque de recevoir des coups et je me suis cassé. J'avais onze ans, on était en Juillet 1995 et j'y ai pas remis les pieds depuis. C'était peut-être pas très malin de ma part, j'avais pas emmené grand chose dans mon barda et je me suis fait quelques frayeurs. Je suis resté quelques semaines dans la périphérie de Johannesburg, j'ai eu une chance monstrueuse et j'ai pu me débrouiller. J'ai fait du stop; j'ai profité de la générosité de quelques personnes; je suis devenu plutôt habile à tirer les portefeuilles des touristes naïfs. C'est l'avantage d'être petit et de pouvoir compter sur une bonne petite bouille. Quand on commençait à me poser trop de questions, je prenais la poudre d'escampette: j'étais bien déterminé à ne pas retourner chez mon père.
Eh. Je vous vois venir. C'était peut-être pas la grande joie à cette époque, mais votre commisération vous pouvez vous la carrer où je pense. Je regrette pas ce qui s'est passé; Sans ça, je serais peut-être bien moins solide et malin que je le suis aujourd'hui.
Ma petite carrière de fugueur n'a pas duré longtemps, heureusement: à la fin du mois d'Août, j'ai définitivement basculé dans le monde magique. Je vous raconterai une autre fois comment j'ai rêvé d'Uagadou et dans quelles circonstances je me suis fait escorté manu militari par un chamane Ougandais qui faisait bien deux mètres de haut. C'est une histoire marrante. Et si vous êtes sympa je vous montrerai ma Pierre de Choix que je porte toujours sur moi depuis.
J'avais jamais été un élève studieux et ne le suis pas vraiment devenu, mais j'ai adoré Uagadou. C'était tout un monde qui s'ouvrait à moi, tellement de choses nouvelles à expérimenter, d'autres limites à franchir. Et la magie, l'incroyable magie qui existait pour de vrai! Ceux qui sont nés dans des familles Sorcières pourront jamais comprendre ça, ce bouleversement. Les élèves venaient de tout le continent, du Maghreb jusqu'au Cap de la Bonne Espérance. Au départ, j'ai fait un peu profil bas: y avait pas masse de Blancs. Mais je me suis vite détendu, là-bas, tout le monde s'en fiche de la couleur de ton faciès. Par contre, t'avais tout intérêt à ne pas passer pour un faible; tout était question de puissance et d'équilibre hiérarchique. Je me suis fait pas mal de copains là-bas, des gars un peu turbulents dans mon genre, et on ne s'est pas gênés pour faire les quatre-cent coups.
L'été, je le passais au Foyer de l'école. Les élèves qui pouvaient pas rentrer chez eux pendant les vacances étaient nourris et hébergés, en échange de travaux d'entretien. J'avais menti à l'administration en prétendant que mes parents étaient morts. Je pense pas qu'ils m'aient cru mais quoiqu'il en soit, ils ont accepté de me prendre en charge.
Je suis devenu Animagus, un Change-forme, une faculté plutôt banale là-bas et quand j'ai eu mon C.R.O.C.O, j'ai décidé de m'en tenir là question études. Envie de voir le monde et de mettre mes talents à l'épreuve. J'ai pas mal baroudé. J'étais un peu perdu je pense. J'ai fait pas mal de petits boulots, plus ou moins recommandables. J'achetais et revendais des artefacts, des objets magiques rares pour le compte de puissants chamanes en quête de pouvoir. C'était pas franchement légal, c'était assez risqué, mais ça payait bien. Assez en tous cas pour que je m'aventure au delà de l'Afrique: en Asie, Europe Orientale, et jusqu'à cette bonne vieille et grise Angleterre.
Y a un an et demi, j'ai pris mes quartiers à Londres. J'ai enchaîné deux-trois jobs pas vraiment intéressants avant de revenir à mes anciennes amours: le commerce. Comme j'avais toujours des contacts sur le sol africain, j'étais en mesure de proposer des marchés intéressants aux Britanniques intéressés. Mon petit business m'a amené à croiser le chemin de Barjow et j'ai du lui taper dans l’œil parce qu'il y a six mois, il a proposé de m'engager à temps plein pour m'occuper de sa boutique. C'est vrai qu'il se fait pas tout jeune. J'ai accepté: le salaire est pas mirobolant mais pour le moment, ça me suffit, et puis je suis tombé amoureux de cette boutique je crois. Tout ce fatras de trucs plus dangereux les uns que les autres, ça maintient en éveil et j'ai toujours eu besoin de ça.
Et voilà en quelques lignes la grande et belle histoire de Sam Wit.
Ou à peu près. J'ai la fâcheuse tendance à enjoliver les choses. Les gens préfèrent les bonnes histoires à la réalité et quand on leur dit la vérité, ils choisissent de ne pas l'entendre. Même moi j'ai parfois du mal à démêler le vrai du faux de cette histoire, depuis le temps. J'ai peut-être bien tout inventé.
Et voici la fiche de liens de Rosalind... Je la poste ici pour archive, en prenant un peu d'avance, parce que je pense que je vais remodeler cette section du carnet bientôt. Je voulais créer une galerie de portrait à la sorcière, avec des images animées, et j'aime bien cet effet. Par contre c'est une vraie galère à mettre à jour... Et plus les liens se multiplient, plus je trouve que ça devient compliqué :lol:
AMIS DE LONGUE DATE
Pansy Parkinson
Amie proche
Pansy et Rosalind se connaissent depuis leur Première Année à Poudlard. Toutes deux réparties à Serpentard, elles deviennent rapidement amies, Rosalind ayant l'intelligence de ne pas s'opposer à Parkinson dans sa course pour le titre de "Princesse des cachots". Depuis toujours, Fawley apprécie les gens qui font preuve de panache, de prestance et de brio, et la brune fillette n'en manque pas. Partageant leur amour des potins, elle forment à l'époque un duo féminin redoutable et inséparable, au sein de la bande composée par les jeunes héritiers Sang-Purs: Malefoy, Zabini, Crabbe et Goyle (même si bon, disons-le, ces deux derniers n'ont jamais fait partie intégrante de l'intelligentsia Serpentarde.)
2006:
De retour à Londres, Rosalind s'empresse de reprendre contact avec ses anciens amis de Poudlard, et adresse un hibou chargé de remords à Pansy. La rouquine n'a pas donné de nouvelles à ses camarades depuis sa fuite d'Angleterre, c'est donc un peu nerveuse qu'elle prend la plume pour les contacter: elle s'attend à ce que les retrouvailles ne soient pas si aisées qu'elle le souhaiterait. Pansy lui répond et l'invite à la retrouver sur l'Île, lors du voyage organisé par le Ministère. C'est au cocktail de bienvenue que Rosalind retrouve sa vieille complice et quelques explications s'imposent...
Drago Malefoy
Vieil ami Premier amour
C'est dans la bande de Drago Malefoy que Rosalind a fait ses classes à Poudlard, dans tous les sens du terme. Portés par des valeurs et une éducation commune, les deux enfants Sang-Purs apprennent à s'apprécier et deviennent amis. Rosalind aime l'élégance racé du petit blond, sa ruse, et sa façon bien à lui de rabattre le caquet de tous ceux qui osent moquer son nom et la suprématie des "vrais" Sorciers: ceux dont le sang charrie la magie pure, depuis des générations. Rosalind fuit le conflit et n'est pas le genre de petite fille qui brave le règlement (pas par respect des règles, mais surtout parce qu'elle craint les représailles parentales). Mais elle suit bien volontiers les frasques et les petites vendettas initiées par Pansy et Drago. Son ingéniosité et son charme, autant que son ascendance, trouve tout à fait la place de s'exprimer dans cette petite bande de Serpentards et elle s'y sent bien.
Avec le temps, les liens se solidifient, et Drago devient pour elle un ami proche. Elle apprend à voir au-delà du rictus moqueur et de la froideur du jeune Malefoy. Et si ce dernier ne brille pas par le courage, aux yeux de Rosalind, il compense largement par son intelligence et son charisme. L'amitié qu'elle éprouve pour le jeune homme évolue progressivement vers d'autres sentiments, bien moins platoniques. Elle qui n'avait jusque là éprouvé peu de choses pour l'autre sexe, si ce n'est qu'une vague curiosité, la voilà qui se découvre, à son grand désarroi, amoureuse de l'héritier Malefoy. L'adolescence, les émois d'une troublante ambiguïté, et même un baiser lors d'une soirée alcoolisée. Aucune idylle ne naît entre les deux Sang-Purs: la guerre vient vite recouvrir de son ombre toute insouciance, et Rosalind ne dévoilera pas ses sentiments envers Malefoy.
2006:
Arrivée à Londres, Rosalind écrit à Drago pour l'informer de son retour et ce dernier accepte de la retrouver autour d'un verre. Rosalind sait ses vieux camarades de Serpentard fiers et peu enclins au pardon. Surtout le blond Drago. Elle espère, autant qu'elle appréhende ces retrouvailles. D'autant que Malefoy n'a pas toujours été un simple ami à ses yeux... Le temps a passé, les blessures ne se comptent plus et se referment lentement. La guerre et ses stigmates, le travail, les voyages, les amours aussi... Autant de choses que les deux vieux amis ont à rattraper après tant d'années de silence.
Gemma Landre
Première véritable amie
Lorsque Rosalind pose ses yeux pour la première fois sur le visage de Gemma, elle s'est immédiatement sentie happée par le magnétisme que dégageait déjà la petite Italienne. Fascinée par sa camarade de Serpentard, qui lui fait irrémédiablement penser à une héroïne des sagas qu'elle affectionne tant, elle entreprend de se rapprocher d'elle. Les deux fillettes se lient d'amitié et, durant ses premières années d'étude, Rosalind considère Gemma comme sa meilleure amie.
Une complicité forte, une relation précieuse pour la rouquine, mais qui se trouve mise à mal au cours de leur troisième année à Poudlard. Après avoir découvert la lettre de suicide de sa mère, Gemma se referme sur elle-même, repoussant les tentatives de Rosalind, qui ne sait que faire pour réconforter son amie blessée. Peinée de ce rejet, la jeune Fawley finit par s'éloigner et leur amitié se délite.
Rosalind le vivra comme une rupture. Encore aujourd'hui, le nom de Landre éveille en elle un curieux mélange de rancœur et de tendresse.
Theodore Nott
Bon camarade
À Poudlard, Theodore cultivait une solitude âpre et quasi-constante. Ne se mêlant que très peu à ses camarades, il préférait passer le temps le nez plongé dans les livres ou les parchemins. Malgré tout, nourrissant un intérêt commun pour la lecture, les deux jeunes Sorciers ont eu l'occasion de sympathiser. Sans le considérer comme un de ses amis proches, Nott étant bien trop sauvage pour ça, Rosalind a toujours apprécié l'intelligence et le calme de cet austère camarade.
2006:
C'est lors du cocktail de bienvenue que Rosalind revoit Theodore pour la première fois depuis la fin de la guerre. Elle a bien du mal à le reconnaître: le jeune homme sombre semble métamorphosé. Assuré, souriant, il la salue alors qu'elle discute avec Pansy Parkinson, sa vieille amie enfin retrouvée. Au vu du regard que Nott pose sur sa brune amie, Rosalind suspecte un intérêt plus qu'amical...
Blaise Zabini▲
Complice de toujours
Malgré toute l'affection et l'admiration qu'éprouvait Rosalind pour Pansy et Drago, de leur petite bande, c'est avec Zabini qu'elle s'est toujours sentie le plus à l'aise. Le garçon, bien qu'orgueilleux (comme le reste de ses petits camarades de Serpentard cela dit), savait toutefois mettre un peu d'eau dans son vin et se comportait généralement de manière plus mesurée et diplomate. Devant lui, Rosalind dévoilait plus volontiers ses faiblesses et Blaise est vite devenu un confident et un complice fidèle.
NOUVELLES RENCONTRES
Evan Jones
Gêneur mais belle gueule
C'est sur la plage de l'Île Perdue que Rosalind croise Jones pour la première fois. Et elle le catalogue bien vite comme un malotru aux tentatives de séduction éculées et maladroites. Mais peut-on vraiment appeler son approche ainsi? Cela dit, elle reconnaît qu'il est plutôt bel homme. Si on apprécie le genre rentre-dedans et sans-gêne.
Adelia Flores
Mauvaise impression
Depuis qu'elle s'est installée à Londres, et qu'elle s'est remise à l'écriture de son essai, Rosalind fréquente régulièrement le Chaudron Baveur. C'est assez rare pour le souligner, mais elle a même fait un effort pour discuter avec le petit personnel, aka Adélia, une des serveuses du bar. Sans avoir complètement tourné au vinaigre, la courte conversation qu'ont eu les deux Sorcières n'a pas fait grande impression sur Rosalind... L'idée qu'elle se fait de la jeune Brésilienne? Une serveuse aussi jolie qu'ignare, et presque insolente avec ça. En même temps, que pouvait-elle attendre d'une simple serveuse?
Astrid Olsen
Demoiselle en détresse
Une rencontre dramatique s'il en est... Alors qu'elle marche dans les rues de Londres, tard dans la nuit, Rosalind découvre le corps inconscient d'une jeune fille, tombée sur les pavés. La Sorcière est blessée, saignant abondamment. Héroïne d'un soir, mais d'un soir seulement, Rosalind transplane avec elle jusqu'aux urgences de Sainte-Mangouste.
Héra Greengrass
À venir...
Juliett Olivander
Copine perdue de vue
Bonnes copines lors de leur première année, si Juliet était restée plus longtemps à Poudlard,elle et Rosalind seraient probablement devenues de grandes amies. Le temps a passé, mais la rouquine a conservé quelques bons souvenirs de ce temps à rire dans les dortoirs du cachot avec la petite-fille d'Ollivander.
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☰Inventaire
» Mar 28 Aoû 2018 - 19:05
Et voici deux codes que j'ai postés pour des livres. J'aimerais conserver leur style actuel pour l'usage exclusif de mes personnages mais je peux tout à fait les adapter en changeant la couverture, les fonds, les polices, etc, si vous m'en faites la demande N'hésitez pas!
TITRE
Sous-titre
Nom de l'écrivain.e
TITRE
“Ecrire, c'est espérer. Ecrire, c'est transformer une chose en une autre. C'est se solidariser avec les autres. Ecrire, c'est l'essentiel dans sa pureté.” Dominique Lévy-Chédeville / Gaspard de la nuit et des étoiles
“Ecrire, pourquoi? Ecrire pour qui? Est-ce vraiment si important? Ecrire l'activité des insectes que nous sommes !” Normand Rousseau / Les jardins secrets
Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.
Auxerunt haec vulgi sordidioris audaciam, quod cum ingravesceret penuria commeatuum, famis et furoris inpulsu Eubuli cuiusdam inter suos clari domum ambitiosam ignibus subditis inflammavit rectoremque ut sibi iudicio imperiali addictum calcibus incessens et pugnis conculcans seminecem laniatu miserando discerpsit. post cuius lacrimosum interitum in unius exitio quisque imaginem periculi sui considerans documento recenti similia formidabat.
Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum.
Dernière édition par Rosalind Fawley le Lun 5 Nov 2018 - 18:33, édité 1 fois
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☰Inventaire
» Mar 9 Oct 2018 - 15:50
J'ai l'impression de ne coder que des bouquins en ce moment... Enfin, bon, en incarnant un personnage écrivain, on pouvait s'y attendre! J'ai redécouvert certains codes de CCcrush, et vraiment, j'aime leur dynamique qui donne une sensation très "pointue". Je me suis amusée à adapter celui-ci en lui conférant le côté un peu "antique" que j'associe à Rosalind...
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LE MUSÉE HERMÉTIQUE Rosalind Fawley
Il existe tout un monde d'images profondément ancré dans la mémoire de l'homme moderne, bien qu'on ne le trouve pas dans les publications accessibles au grand public et qu'il se cache dans des manuscrits et des livres anciens.