Juliet Ollivander est la petite fille du célèbre fabricant de baguette du même nom. Son enfance dans le cocon familiale est heureuse et la magie règne déjà dans sa vie. Dans sa famille, on attend déjà qu'elle reprenne plus tard le commerce de son grand-père avec qui elle partage un lien très fort.

A l'âge de onze ans, elle fait son entrée à l'école de sorcellerie Poudlard et intègre la maison Serpentard. Pour ses proches, dont les valeurs sont contraires à celles de cette maison, c'est le choc. Son père, tout particulièrement, nourrissait l'espoir qu'elle finisse à Serdaigle ou à Gryffondor et est très déçu. Dès lors, un fossé se creuse entre Juliet et sa famille, et elle s'en retrouve changée à jamais, alors qu'elle n'a que onze ans. Très vite, elle se lie d'amitié avec les membres de sa maisons, comme par exemple Pansy Parkinson, Millicent Bulstrode, Drago Malefoy, Daphnée Greengrass ou Blaise Zabini, ce que désapprouve très fortement sa famille. Juliet, ne se sentant pas soutenue par ceux qu'elle aime ne les écoute bientôt plus. A la fin de la deuxième année de leur fille, les parents de Juliet, Geoffrey et Elisa prennent la décision de la retirer de Poudlard. Ils prennent pour prétexte l'ouverture de la chambre des secrets en déclarant que l'école n'est plus aussi sûre qu'elle ne l'était auparavant, et que la jeune sorcière doit être protégée de l'influence néfaste de ces amis.

A treize ans, Juliet est envoyée aux Etats-Unis, le pays natal de sa mère, afin de poursuivre ses études dans l'école d'Ilvermorny où cette fois elle entre dans la maison des serpents cornus. La jeune fille les déteste pour ce choix et rompt tout contact avec sa famille. Pendant les vacances d'été, les seules où elle quitte Ilvermorny, elle vit chez ses grands-parents maternels, les Blake, ne pouvant se résoudre à retourner au Royaume-Uni. Néanmoins, Juliet est une élève brillante passionnée par ses études, elle apprécie les quelques années qu'elle passe à Ilvermorny, loin des tourmentes de la seconde guerre qui se tient alors en Grande Bretagne.

Elle se détache totalement de ses grands-parents lorsqu'elle quitte Ilvermorny. Elle travaille pendant plusieurs années dans une grande librairie New-Yorkaise avant de s'intéresser au journalisme, elle décroche finalement un stage dans le grand journal sorcier américain. Juliet apprend par la suite que ses parents sont morts quelques années plus tôt, tués par Lord Voldemort alors qu'il cherchait à enlever son grand-père. Cette nouvelle n'émeut pas la jeune femme qui ne ressent plus rien pour sa famille. Elle prend la décision de retourner en Grande-Bretagne afin de récupérer l'héritage de ses parents et ainsi renouer avec son pays natal. Elle est l'héritière Ollivander et sait qu'avec elle finira par s'éteindre la lignée, mais elle n'a aucune intention de reprendre l'affaire de son grand-père après tant d'années.

Juliet est solitaire et méfiante, son passé lui a appris qu'elle ne pouvait se fier à personne, pas même aux ceux qui étaient chers à son cœur. Elle est totalement perdue, ses convictions sont floues. Malgré tout, elle souhaite réussir et aimerais recommencer sa vie loin de sa famille qui l'a blâmée pendant toutes ses années. Elle aspire à enfin être heureuse, même si elle vit dans la crainte d'être dévorée par sa rancœur.

Quam ob rem ut ii qui superiores sunt submittere se debent in amicitia, sic quodam modo inferiores extollere. Sunt enim quidam qui molestas amicitias faciunt, cum ipsi se contemni putant; quod non fere contingit nisi iis qui etiam contemnendos se arbitrantur; qui hac opinione non modo verbis sed etiam opere levandi sunt.

Auxerunt haec vulgi sordidioris audaciam, quod cum ingravesceret penuria commeatuum, famis et furoris inpulsu Eubuli cuiusdam inter suos clari domum ambitiosam ignibus subditis inflammavit rectoremque ut sibi iudicio imperiali addictum calcibus incessens et pugnis conculcans seminecem laniatu miserando discerpsit. post cuius lacrimosum interitum in unius exitio quisque imaginem periculi sui considerans documento recenti similia formidabat.

Quibus ita sceleste patratis Paulus cruore perfusus reversusque ad principis castra multos coopertos paene catenis adduxit in squalorem deiectos atque maestitiam, quorum adventu intendebantur eculei uncosque parabat carnifex et tormenta. et ex is proscripti sunt plures actique in exilium alii, non nullos gladii consumpsere poenales. nec enim quisquam facile meminit sub Constantio, ubi susurro tenus haec movebantur, quemquam absolutum.